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Show LE JOURNAL ne rien obmettre de tout ce que l'on a fe plus accoutumé de citer pour en établir Tan-cien ufage* II n'avoit point eu d'autre pei> (ee non plus que d'y joindre des fcholies très-courtes , fans entrer dans les difcuffions de Critique, qui demandent plus de détail & d'étendue ; chacun fe fait un plan comme il le juge à propos, celui là n'étoit pas mauvais. Mais le Public eût perdu beaucoup, (î PAuteur s'en fut tenu à cette première pen-fée. Auffi a-t-il fait plus dans la fuite ;& premièrement, pour ne tomber pas dans un défaut aflez ordinaire aux faifeurs d'abregez, 3ui confïfte à donner au Public des Recueils e chofes que tout le monde (çaït déja,& laiflèr à côté hs plus curieufes & les plus fin-gulieres ; il a redonné dans le fécond Volume» & fous le Titre de Supplément, pref-2ue tous les Canons qu'il avoit ôbmis exprès ans fon premier deffein ; de forte qu'en lej-rej oignant avec ceux qui rempJifTent le corps du Livre , on a dans celui-ci prefque tous les Canons, qui ont été faits depuis le commencement de TEglife jufqu'au quatorzième fîecle;fecondement, au lieu de {iftiples fcholies , qu'il avoit voulu renfermer en peu de H fait de juftes notes ; & ces notes ffié d l de étaient d'une necerfîté d'autant plus grande, «jue ceux qui l'ont précédé dans ce travail 9 ont laifle plus d'endroits fan* éclairciffement ; {oit qu'étant eux-mêmes fort éclairez & ' ils ayçat jugé du Ravoir & |