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Show r> es s c a v a tst s. 77.7 eit'il pus à fenhaiter que dans tout les tix , «à plufieurs gens travaille??? , ciux nt f°nî '* mc'xns fcupçonnez. d'être des Andrys , fcufcrivijjtnt pourtant chacun Jon Ifittrait', ils en feraient encore t>lui attentifs ftf plia rttenttt. Enfin, pour nous reprefen-«c en un leul mot toutes nos obligations, jl nous ramené au grand nom de Père corn-mn des Lhns? dont il femble faire le propre caradere de toutJournalifte. Apres ces reproches Se ces avis, quelque parri que nous Aions prendre , quelqu'un s'imagincroit peut-être que nous pai-lenons ou avec trop dereflentiment des injures, ou avec trop de recounoiiTance des bons confeils. C'eft pourj quoy remettant toute la decifion i la liberté & ï l'équité publique, il ne nous refte plus qu'à rappellcr certains principes, qui peuvent n'être pas inutiles pour cette deciiion. Car à parler naturellement, quelque corn-muns que foient devenus les Journaux , il n'eft pas fî commun de Ravoir au jufte ce que ù{\ qu'un bon Journal ; & l'on diroit volontiers qu'il eft aufli rare de rencontrer des perfonnes qui fâchent précifément les devoirs des Journahftcs, que de trouver des Journa-liftes, qui les remplirent parfaitement. On içait bien en gênerai, que leur devotf eft de faire connaître ce qui s'imprime : mais «'ï particulier comment le faire ? C'eft fur quoy naiflent bien des queftions peu faciles a décider. Eft-ce aflezj par exemple d'afficher |