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Show des s e/r v A->r leurs difputes ; ^les aigreurs & les inveôiveî qUi s'y mêlèrent. Notre Hiftorien f^ic entrevoir les extrémité* peu édifiantes où cette dlivifion fut portée entre deux grands hom-nies, Tans prendre parti pour l'un ni pour l'autre. Il fait profefiion de ne vouloir point fe porter pour Juge3 & fe contente dç rapporter les faits comme il les a trouvez dans les fources- Du refte, il en laiffe le jugement aux Leâeurs, 6c à Dieu la condamnation de Rufin , qui eft" mort en Sicile feparé de la Communion du Pape Anaftafe ? mais' non pas du faintEvêque Chromace ami de S» ~ Jçrôme. Notre Auteur commence le neuvième Livre par l'Eloge, funèbre de trois-IiluftrçsDames Romaines difciples de S. Jérôme. C'eft un endroir des plus édifians de cette HiAoire» Gomme on a mis tout de fuite les Eloges des feintes Fabiole 3 Paule & Marcelle ; on fait ' auffi Cuivre dans le même rang la difpuce entre S, Jérôme & S. Auguftin ; de forte que fur ce qu'en ra^forte notre Auteur, on peut favoir à fond l'origine, le progrés &la con* ; clufîon de cette Diiautô entré deux fatntsDq- • ÔSWfs & deux des*plus grands Hommes que l'Eglife ait eu depuis fon établiffement. Il; ne veut point qu'on paaçhe pîws pour Tua I que pour l'autre-, afin d'être édifié de leur ' conduite, bien différente de celle des Au-~ teurs d'aujourd'huy , qui ne Te pardomoent " ^i ^ qu'ils oaE-dk les uns contre te*sa^ |