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Show D ES SC A VANS. g^ cole : car le pardon des oflenfes eft une « g\on de la volonté fuperieure : or la vo- « lonté fuperieure de pardonner les offenfes iC reçues, peut erre combattue par des impref- •«¦ fions contraires de concupifcence, qui agif- « fent vivement fur l'imagination , $< qui y « caufent des fentimens d'aigreur & des trou- cc blés à la prefence âss psrfonnes à l'égard cc defquellcs elle n'eft j>as guérie, ce'qui « rallenti: les avions mêmes de la volonté : cc mais fi toutes ces mauvaifes difpofiïions ne « concluent pas aflurement que la charité " n'eft pas dans le cœur, elles marquent au * moins qu'elle y eft fort attaquée , &c. " 11 eft fans doute à:préfurner, qu'il ne s'agit dans tout ce di(cours que des premiers rnouvemens purement involontaire^ > & ce feroit une faute très-condamnable de le lire avec la malignité de ceux, qui ne parcourent les Livres de Morale, que pour y. découvrir dequoy. faire le procès aux Auteurs. On trouve ua bel" Eloge de la fainte Vierge dans la troifïéme Inftruftion. La quatrième eft une des plus travaillées*- L^Àuteur y expofe avec beaucoup de precifion les dogmes qui regardent la Méfie- Nous mettrons icy une de fes plus importantes queflions. DEM..Pourquoy dites-vous que le Sacrifice a Qe la Melîe eft offexr en commémoration rt & en continuation de celuy de la Croix l u & C'eft parce que l!effence d'un Si- iS comprend plufîeurs avions dont les £ |