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Show DES S C A V A N S. ^rt On voit bien que le zèle de l'Auteur pa e"mportéVen^uy ^a^ant condamner fans rai -fon les-chofes capables de contribuer à un© belle & honnête éducation ; & que l'amour de fon pays luy a infpiré des fëntfrnens contraires à ceux de bien des gens. / I I. EX E M P L E. Dans le Confeil III. pagg.'j*; 97/ 9S. après avoir parlé des Jefaites en ces ternies : Tloruitiffaitarum Scholay h&c olirnsSinge~ nm >' ftttdiù, '& ntflgiftrh prkclari* : qua* mm non pduci yèH^m > ma ad 'vetérejfi eloquentiam Hur \ <viam <vidtrum. qfy m»-nire infiituermt.: atque ufu etiam vête* rumLdiin&lingH^AutoYMn^ atque exeni-tatiene cQnjefïtti funt, ut quôrumdarn ora-tïo ¦ab-.antiqua Romani -fermonss. integritate nvn multum ahejfet : fta ofhis pêne Chri-fiiani fludia converfa funt in'h an? fcho* îam: fr-certatim inde expetiia funt reftio-rk 'EloquentU frkcepfy , Eloge que notre Auteur a cru né pouvoir jnftement refufer à tes grands Maîtres de-l'Eloquence. Il les accufe -enfuite de s'être "écartez peu à peu du droit chemin, & d'être tombez dans la &uiîe Eloquence : reproche fait injufte-ment à tout un Corps, & qui ne peut tomber que fur quelques Rhéteurs particuliers. III. Exemple. Dans le XIII. Confeil 5 pagg. tpïj *$i* çû.flQtr* Auteur prçpofe faint A.uguflin pour t> d'à |