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Show 4S* LB JOURNAL <1jc dans ce chapitre , fur le raport de G*,; ?uir* î» Horolog* princitK p. ;7o, qu'aux Indes les enfans à la rnammelie ne pleurent jamais, & qu'à caufc de cela , on a toujours auprès de leur berceau des orties prêtes, dont on Jes rouche de rçmps en temps pour les faire pleurer, parce que les Philnfnr.hes du pay< difene, que dun entant pleure au moins deux heures par jour, il en devient plus grand & vie plus long-temps- Le der* nier chapitre eft des larmes de Jefiis-Chrift. Nous ne fçaurions faire l'extrait de tous ces chapitre?. Il montre dans ce dernier , que les plus grand-" Hommes ont pleuré: il cite là defliu i&née, Xeixés, Jules Cefar, Ceiar Augufie 3 &c. puis il vient à Jefus- Chrift. On comprend aifémenc tout ce qu'un Auteur aufî] abondant que le nôtre, eft capable de dire fur ce fujet. Ce que nous avons rapporté de quelques autres chapitres, peut donner une idée de celui-ci. PHILIPPI DE LEYDEM TRACTA TUS Juridico-Politki, quorum feriem fequens pagina exhibet. Accedunt huic édition!, Auâori«î vita , medulla Tradatuum, & Index îegum ad quas fcripfît. Receniuit, & indice auxit Sebaftianus Pet^o]dus,Re-giœ Majeftatis Boruffi^e Bibliothecarius. Aniftelaedami apud Sebaftianum Petzol-duffî I7OX C'tlàdid |