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Show GASPARD DE COLIGNY. \ fl : (\Ë -w.,.\ù -. _‘/ ‘: '. iiî' ‘ W, L A 157 …. m‘, Venir les tours qu'elle lui pouvoit joüer: la fcconde , qu'ayant répandu beaucoup de £1ng dans la guerre civile, qui s'etoir allumée en Allemagne, au fuietdela Religion, il en avoir été touché d'un fi fort repentir , u‘il avoit refolu d'en £1ire penitence lerei‘ce de ila vie , mais que (e trouvant toûjours embarqué dans de nouvelles guerres , il avoit été obligé d‘en differer V l‘executioniufquesä ce qu'il fe vit en paix. Quoi qu‘il en foit , il s'écoula peu de temps apres la D E treve, dont j'ai parlé chcfÎus, qu'il n'éfeé‘tuât GASPARD DE COLIGNY, AMIRAL DE undeiTein ii extraordinaire , & fi inouï pour une erionne de fonrang. Pourcet effet il afièmbla les trois Etats de Flandres à Bruxelles , où aprés undifcours fort touchant, & qui fäifoit voir les peines qu'il avoit euës pour aquerir cette haute reputation où il étoit , il fe demit d‘une partie de fcsEtats en fi1veur de Philipes fon fils , & ne gardant les autres que pour prendre quelques FQANCE. mcfures, quiparoifloient necefl‘aires à la fortune de üMaifon , il s'en demit pareillement. La Maifon de Guife qui cherchoit à tirer N E des raifons principalçs : ‘l‘j‘Â' 5, \oienr porté l'Empereura la ","‘°.' "'3î était celle Que l'ai rem"f]"ce Cll Ï deflii$ , (gavoir la forte p3fl10‘ê)‘lullc ("' avoir de quitter le monde. . "(ill flair au vrai ce qui l‘y ol;ligea, &_l On.°‘l‘"‘îlîue te tant de n'aifons , qu'on ne fi:art fui 1*‘fl\…_ s‘arrêter. Cependant Il y en :; deui_( }? U>‘le … f‘c1nblablcs que les autr€,S ! 111_ Pire/m‘ele 3;wu_ pouvam lbufrir, qu'apresflyorrctc laeure1 .ç Il te fa \ie , la iL… une lui eut tourne le Li")hliien avoir(i'iiqu'ellen'en «inneureronpasla, {l'-ve. Q-i'il avoir eflimé être d'un homl'Df: &? Le,-li.ir COmm<_ä'leSPrinces ont encore plus de penchant à }"8n1té que les autres , il le mit en tête non1_îul_einent que cela étoit , mais encore qu'il lui laren facile de faire fes aHhii'es pendant le nou"‘»‘flfll'egne de fon fuccefieiii'. Le Connétable "& 1_Amiral tâchoient de lui ôter cette fantaifie iiirl'ÎlÏîiîeïîm de _la paix : mais ce fut afl‘ezqu'ils ;… éu _ paru ,/ pour que, la Marion de Gu11e !" "lq… y et01t oppofe , fi bien qu'ayant ΑPrefÊ‘Ptc au RO_i qu'il y auroit de la honteà lui ** ‘°'anr que le fils lui retintdansfoni mpuifiänœ :" _eer_, lui failänt voir , que fon Roiaume ,,. \«3 .», ,».‘Su - .L-. -. .;.;-r-'A «n.: r _ III. ."Ïo-e' ' LIVRE des avantages de toutes chofes , ne manqua pas de i.nre palier cette retraite au Roipour un effet de A crainte qu'il avoit euë de fes armes. Les autres Batteur-s lui tinrent le même difcours ; & |
