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Show L A V I F, D E LIV. I. 6 box} pour les uns, ne l'étoit pas pourlcmutree‘ 7 LW. GASPARD DE COLIGNY. inf, e penfé même s‘en reflouvint, il en eût la &lon perelepreflantd‘expliquerce que celavoiii ques à ce qu'enfin cet enfant étant devenu plus loit dire. ]'entens Monfieur , lui rèpondit-il que mon Épëe efldigne d‘un fold.it , mais qu‘uti mnd, il reconnut encore plus de bien de lui, u'il nelui en mandoit. Le Maréchal de Chaûillon laiflh trois enfans,‘ domeflique ellindi%ne d‘un tel prelbnt. On n'aura pas e peine à compre ulre quefi leMarÿchaldeClml‘tillon aroit été ravi (l)CÎOU΀S fes petrtesfaçons de faire, il fut enclmntéde cette fçavoir0det, quil‘utCardinal àfeizeans; cho{e que l'on ne voyoit gueres , que dans les Mail"ons fouveraines, Gafpard , &Francois qu'on nom- 11commençadoncàfäire toutfonplai. ma Andelot, %! qui nôtre Gafpard donna la «. ea fir de cet enfant , & quoi que fon mné promit million de fa charge de Colonel General de l'In- fanterie Francoife, quand ilfut faitAmîral. Ce reponfe. beaucoup, il concût encore plus d'efperance de celui-Aer. Cependant il falut qu‘il s'en feparât bientot, &même ce fut pour ne le revoiriamais ÊËÎÎÊËFQISdÙÎm entrés en l'mnce d'un côté, lui ob-Oiî 6, autre, leRor ;ettnles yeux fur n'el‘t pas que celle-ci fut plus belle que celle-là, mais il avoit une telle amitié pour ce frere, que ce fut un autre lui-même. Ainfi il ne faut pas s'étonner, s'ilfit cela pourlui, touteibisiedirai e}mo3 er contre les premiers , qur en paŒant, que peu de gens eulfent été allez ge- ÎrËÎÏ2ÊâÏË‘ËËÎËÊÎÎËÎËÏ' lui recomma d 1 d' _ con°Ëimmi ueratrorr, "…le…Ror peu de mots de quelle confequence étoit cette , }) ur fèuÎe‘* _ n a a urgence, _ce qu1 lurfit non- mentprendœ la porte , mars encore fe prelÎer beaucoup pour arriver au rendez-vous. Or s'étanlt_ eclrauffeîen chemin , il fut {hifi d‘une fièvre iiiâË:äë qui lîoblrgea de s'urrêrerë Dax , où il neuvreme roux de (& maladie. Il fit un äîfÎ_ament, par lequel il recommanda fa femme d…çîæf‘rïàäëw &:ëf?f‘b°°-fiere- mon, aum-bienun,"îÊ nf; autre , la veille de la a uÿemn_re,cru, "& ce filt'de'fi' {; on. fens 1 , q u'o nnÉlu auromamam qu‘11eutctc \ procre de la fin. Il mmd -' ' h (‘ ncreux pour faire un tel prefent, carpour dire en charge , il fuflit que l'on fçache que c'étoit la même que pofiedoir le Duc d‘Epernon, lequel en foùrintfi bienles prerogatives lousle regne du feu Roi , qu'il obligea ce Prince à lui ceder la nomination de la moitié des charges de Capitaines aux Gardes. Le Secretaire de ce Duc qui a écrit fa vie, rapporte , fi i'ofe parler de la forte, le demêléqu'il eût Ï1cefujetnvec Lou'ilell. , & il n‘en oublie aucune circonflance , ce qui ne fert ms d'un petit ornement à fcnhifioire. Voilà quels furent les enihns cle Gafpard de Co- lign37 , Maréchal de France , "& ces trois freres aMr. de Montmorenc' ‘ ? Cf… filme" Oil nel'aPPelloitPasauti-el, que Oll(_îafîpm:d, car! vécurent en une il étroite intelligence , que rien ne fut capable deles defunir. Qriifinnmidel'un, en Pi‘itfoin, & u'il rnÏei"iS-mmonbi…iion le fut des autres , & qui en cîl‘enîîa un , eut affaireàtous trois. Exemple remarquxble pour tous" répondoitunioflràl' tr0mpe, 51 ni C‘étoir parler bien afefiÊ'Olt .1mc _quici.]il en avjortconçuv qui n'avoir encore les freres , mais quie(l peul"uivi dans le lieæ"là of; 1rnatrvement d un enfanä, nous fommes , oùnous voyons plutôt de la def… Montmorenci Clfigue crnq uns, aufli Monfieut le union entre les proches , que de l‘amitié. Ca‘-. pendant Lou'il‘e de Montmorenci leur mere, alli- faifoit parler d 1 que c cron la nature_qlll_Fl ,°_ af01'te, & toutesles f015 QE" SCll A .; {lee Y ‘. |