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Show . L A V I E .D E sr Lun! GASPARD DE COLIGNY. en é…; il rs va.L ‘50' & de "vivres , & que d'ailleu celle e que quenc es lui eût été de plus grande confe à S‘Y refofudrcz Ï:â necefÎt him de la capitale de tout le Roiaume. Le Dau rcri‘>toié , il eut peine_ …ch qui a‘vo‘ n "o r ca , ms mo an ne a ge eré de cette conduite , voiant ien l‘y obli urx quel étoit de!"efp ep t_ , ee …m ne ag mp a ca el que ce n'étoit que pour lui ôterle moien d'aquetrouvérout ue nq ma a it ço en mm co , ce ; fes creatures %: fon exemple en étoit‘entrée en Fran d Etampes (l; rir de la gloire it , & particulierement Mr. de flC \C Cl DU Ia . es of ch es ut ent de dé de to r_que_tyouvanr plqgg crevoi fgavoit l‘état où il étort, c,-p 1t pcut€trcdhr Chai‘tillon , qui i)ui Étant obligé de la charge qu'il iln'efperon, Il ler0 lui avoir donnée , pretendoit faire quelque action difiicultéqu' meuf à 1,epl.emh.êlës pourparlers ,. que fa born de vigueur, quiluipût faire voir qu'iln'en étoit ir elle lun pas indigne. fortune avoit fait interompre.eauAm , & les prop L‘Empereur étoit trop En , & trop adroit, pour arler fousmaintout denouv ta gcuies, qu an fi av nt , re fit fu ui nl 'o admi- qu ns fitio 1 ne pas profiter de ces divifions. Je fe faifit ntq s ava rn mo . m1 an de Ne rà de ua rf tement d'Epcrnay , & de Château-Thierri, & s'en. feläifiape ut avorr no. de fe refoudre entierement, Il voul Voiantle maitre d‘une autre façon , qu'il n'avoit e, qui outre ie fiegey: efperé, il nevoulutplus entendreàla paix de la mps ce. vellesduRoid‘Angleterr me4e Boulogne, avoitentrepris en mc de Montreüil. maniere qu‘onl'avoitpropofêe. 11 mit donc fur _ Il lui fit donc demander,; le tapis de nouvelles conditions , & comme il mr: n‘etort plus qu'à trois petites iournëes de Paris, vouloit en execution de (& parole s‘Jche droit à Paris ,- mais ce Prince , qui étoit tropr l'entens de celles qu'une armée peut faire , & que gagé pour le pouvoir i2‘lll'C avec honneur,. le Dauphin n'avoir pas des forces fufïîi‘antes pour manda que ce ne pouvoit être qu'apres la puit lui oppofer , le Roi Fut contraint de lui accorder ces deux places, ce qui n‘étant pas co nfo rme au tout ce qu'il demandoit. Il retira donc unnom- delfeins de l‘Empereur, il prit ce pretextepc bre infini de places que le Roi lui avoit prifes, achever-le traité. Il yeutbiende la dithcultç,t ouàfes alliés , & il ne rendit en échange que St. l‘Empereur vouloir , pour paroirre avouî: Dizier , avec les deux qu'il venoit de prendre; grace,plutôtque del'avoir reçû'e' , qu'Epernay Comme il n'eft pas de mon fuiet de raporter ce' Château-Thierrife rendifl‘ent auparavant , &&", traité plus au long , je ne m'y étendraipas davan- pendant qu'il (croit là, onlui vint demander tage , & je dirai 1"eulement que tout ce que Mr. de paix , pour ainfi dire, à genoux. Mais leR Chaitillon pût aprendre dans cette guerre , fut» avoirpeineà fe fier àf‘a parole, craignant qu'apt commentil faloit éviterle combat. Carle Dau- avoir refait les troupes avec les munitionsr phin tut toûiours fur la défenfive, & hors quelques . ét0Ï€nt dedans, il ne fe fervit de cette compl partis qui fe renconrœrent, on ne vit jamais les fance , pour arriver à de plus granch Ch_01= ennemis que d'uncôte' dela Marneà l'autre. Ce- Cependant fous pretexte de ce traité , le ROlp pendant au défaut d'occafions, Mr. de Chaf'rillonl le confeil de la Duchefl‘e d'EtampeS l‘€î€"E n'oublia pas de fe donner toutes les peines quequÏ}Ë de…troupes qui marchoienr pour gt01 pouvoir prendre un Colonel , pour bien difcipli-' l'armee du Dauphin , & les faiioit filer \‘€f5 ner fon regiment. De fait, il fut bientôt difl‘erent BD"I°ŒQŒ : gomme ft 13 glç'fenfe de Bou109 des autres, & quoi que le fiecle_füt perverti , il _ Cz_ rame: |