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Show l‘ ? L A V I E gg ;, ;,{"… me:: 'Ϋ lui , & pour celui qu'il npprourer {… _i t -, …-, _ … fi, les premiers à r - {…,-Tim], paroitre beaucoup de joie pour , ] .l.' Peubêtrc quel'inconllance , qui rell_e , contribua autant que un î; , ,] "_…" "" faire approuver ce retour Q: »; - ; :.…. . _ ; '» plulieurs furentaudeyant )" chemin, &: le Roi eutl.zir Îi ‘… : _ = f_ _4: ' bien-&ance ne l'en crit CIN}‘ix.Ïi fiillon n'eut garde rle ii'…i:i;g : .* ï]n_…… comme celle-là , pour lliire '. i , \" .* __ _ me temps qu'à fon otnle , t } « , plutôt été expedié, qu'il ;-'c 11 f…: 1 I.‘ un :… cheval à Clmntilli , ou il ile". :il:;i ‘ , plusd'unedemie heure. L; (i GNY. 21 GASPARD DE COLI e de lui obéir à la (ann: , lelquels ayant contum il étrange d'être (:bli… noire , ne trouverent pas , que ii c‘eut c'te %. gés de lui rendre des civilités un autre. merite avoit fuffi Mr. de Cliälililltm dont le te la Çour, _ayant pour le faire conficlerer (l? tou vrnt en fon oncîe , cle encore pour lui la faveur de rr nfideration epréscela _, quelans avo figrnnrleco taule étoit obligé toutes les peines que le Conne' moins de Credit de fe donner , il n'avoit gueres ge plus conforme quelui. Commeil étoit d'u*râ plaxfirs, & le à celui du Roi , il étoitdetous les que DauRoi qui pendant qu‘il n'étoit encore te l'armn‘nvoit ofé lui faire paroirre tou phin , : . Çm.ii; tendoit à revenir des que I:; Ib i l'. l:lzrry n'eut garde d'être llll'pl‘l5 (lL‘ ll 21 "l l: - busy neveului aportoii, & apris l‘ 1'. , . À;;i r que le Roi (of! tié qu‘il avoit pour lui , cle peu e ce n'e'toitqu'àla confideration pere n'eùzcru qu le retint, le de fon oncle , n‘ayant plus rien qui ent " Îi';1 uv combla de tant de gmces, qu'il furpafÏa fo il fe i qu' fes el‘pernnces. Le Connétable iut rav ayant en & i , fût fi bien mis dans l'efprit duRo tngeat avec lui. Le couric; (mur "'Î.‘C, .,;ne , Çonnétable monta & c'neml Li î'lx il : i il l_utreçûclu Roi avec tant dr ll‘..‘ ." le de (es Vûëde poulÏerfa fortune :iufii loin que cel _à Ma- propres enËans , il lui conft-illade fonger liea pre demoil‘elle de Laval , perfonne "'une des l'afl‘ef‘cion qu'il lui témoign ;-Ït , .Ï Ï.ai pur; qu'ilfln_'auroit jamaisde loi-in:: * verllance, que non content «l - Î't , ' n bien. s res Maifons du Roinume , d'ailleur d'u , pendantdeuxheures entiercs,ilî»H ; 'l Î…raxx J… : corn1ne s'il n‘eût pit tlill;rç r i':"Ï … au la: stout cela proportionné àla nailiänce,& par-deflu n ne ii accomplie en toutes fortes cle vertus , qu'o e_mam a lui fairepart de ce cu'il .i ' "i e"i fçavoit ce qui étoit le plusäefiimer en elle. El. le és, cel lit qua les leioignoit encore à tantde bel . l lfl" Tomelacour‘lulfÇ3voit l‘nl‘ccnflæu mi‘i eu furl'efprîtdu Roi, pendant qu‘il :il‘t0ittî î_01"e que Dauphin , ne liit point ii::paîfz le lutdire. \lv_ IÊÈ%CÈ'ÈG&{C_OÊm€ on V0i0it bien qu le Rolf. po 61 fur lui des nfluu-es de la paix, &: & guerre , ceux qui avoient des rit.il>lillemen ll'wl l‘bi'm)flâ s'y l‘t.il'iî cet,pour ffib nnrn li tll al n_ t fo t ltC en în l:{ 01 eä bi‘ po av en _} £i lä îîÏÎ ne, (pouren avoir. Ainfiil fe vit bientot rechê='« ché € toute laFrance , & même des Princes &; lan.‘u ux , qui a le plus de pouvoir fur ln iet1neflë je ve " direune extrême beauté, ainfi c'étoit une amor t ree ciû il qu' enc ce‘oiril n‘_v avoit gueres d'npnr filler. Auili ("on oncles‘imnginoit que (on con- fentement ! rivrcit cle prés (gi- prnpcfition , mais il demeura tout fur-pris de la réponfe qu'il lui fit , qui était un honnête refus. il lui (lit que cette m riche heritiere êt.1nt rul1erchc'e de pluiieursPri ces , & «le. tout ce qu‘il y avoir à la Cour , il étoir impcillble que fon cœur n'eù‘x pris parti du ns 5 . un |