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Show 4 & . :e_ __ .. ...…fi... …... -»- - . 1._ ‘ _ vc -'-_-ê…æ= 33….... .. L A V I .E D E_ GASPARD DE COLIGNYÏ ?: venir dans fa maifofl; &" l-","_°""]F & l'en": les autres, parceque ceux-ci pouvoient travailtint tant qu'il vécut ,.furquor Il s una.th ler , & que les autres n'y étoient pas acc0utu.. toutle bien qui lui arnvmt, ne vent,-ir‘quc de més. Comme on cortnoiffoit fon cœur , mm les charité qu'il avoitpourlw. @ certes il y con pauvres le guettoient, quand ilvenoit au Loubuoit peut-être en quelque façon , car pour vrc , & pas un ne s‘en retournoit fan< qu'il lui :… dire la verité, ce pauvre h …une etmt un exe: donné. Cependant c'étoit Fans oilentarion, & Ple de vertu, ce qu‘on reconnut enc<.\>re _mig, non pas comme le Cardinal de Lorraine, qui "i- aprés fl1mnrt, que pendant Fa| \'i«t _ ( ariln‘e voiren cetempalir, carcelui-ci , qui avoir pour pas plutôtle5yeuxfermes, qu une \ |Cill-" lemr cent mille écus de rente de bcnefice: , g‘v»rbwrt qui avoit coutume de le remr demander tous, une bourfe , qui étoit ordinairement yen in: & jours, fe pritàfangloter des qu'on lun eur anne; fon cou , difantque celle qu‘il avoir dans ia poche que Dieul‘avoit appelé äliu. On crut qu‘il Fa? étoitpourlui , & que celle-la étoit pour les pauqu'elle futfa femme pour y prendre rant d'mrer: vres. On raporte Ïa propos de cette d:rniere & chacun l‘ayant interrogée làa‘i"llu$ », bourfe , une chofe fort plai[änte. On dit que ce pondit-elle , ce n‘e'toit point mon mari , r.: Cardinal i:7iiant un jour au billard avecle Roi . uand il l'auroit été, il n‘auroit pas prisplus. un filou qui s‘étoit glifle' parmi la prefle, la lui Foindemoi,'nidemafamilh, qu‘ilfkillir. El coupa , & que le Roi lelui ayant vùläire , il fit coma enluitecomment, depuis qu'il cm dans figneau Roiden‘enrien dire , comme(i ce qu‘il maifon, illuiavoit donné tous les i u… laria; enfaifoit n'étoitque pour le divertir: que le Roi de & le vin qu'on lui donnoir pour (a nouriture croiant la cl10fe de bonne foi , s'étoit tu , mais outre que c‘étoit elle qui avoit profité de la grof qu'étant for-ti au moment aprés avec le Cardinal, gurnône, quilui avoiréréfaire. La chafe au:, celui-ci s'était apercu du vol, fi bien que le Roi cte_raportée à Mr. de Cl1afiillon , il ne la; ne s'etoit pû empêcher de rire : qu'apres s‘en (terre à moins que de l'une nd rc lui-même de être direrti quelque temps, il avoitdit que c'en bouche de cette femme; mais lui ara nt «'n-' conir étoit allez, & qu‘il lui alloit Faire rendre fa bourfe , mee dans le même temps _ il ne pû: retenirli mais que celui qui l‘avoir prii"e , s'étoit e'vadé , ce larmes, nis'em eater de dire qu'il avoit per: un trefor, qu'i n'étoit pas digne qui avoit tellement furpris le Roi , qu'il ne s'en étoirpû remettre detoute la journée. Mais mur Cependant il donna ordre de s'intbrmerqui ért revenir-à Mr. de Chailillon , il ef't certain qu‘il n‘v cette femme; &ayant fù que c'étoit une pauv: avoit point d‘of'tentation %. fonfait, & qri'il ét:>it honteuf‘e , qui étoit chargée d‘enfans, il pritfoîi veritablement touché, quand il fe prefdntoi: un d'elle , &de fa fam pauvredevant lui, On luientendit direuue clmfe hIlnavoupointpl ..__., usde joie qu'à ces n&ionsi läA-(l‘îiiils qui le fera bien voir. Etant allé à Cha'cl arrre,&l °" Ê€fi}arqua que tout jeune qu'il état fi1llonavecAndelot, il y vint un pauvre Gentil1 aveu tant de compaflion des malheureux ;® homme de quatre Oucinqlieties delà, &s‘étent € feroit ruiné V010ntiers pOur les mettre àl€K fait prefcnterpar une pei'fbnne qui le connoilîoit; aife. ' ‘ . ‘ =. . \ ...… , -.. Aria-v -*. ‘ 2 « Il Pla‘gn°lt tout la pauvre Nobl€fl© Ah mon frere, mt ll aAndelut , en fe tournant Ë1fam qu'ils lui faifin foient encore p lus dePlllc‘ll" de 1511 CÔfÎ; ‘T-l'avons nous lait d'agreab e Dieu, D PCLÂL‘ |