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Show GAS? ART) DE COLIGNY. 3ÎLl‘r'. I ' …;les autres. Ne (çaL je pas bien que Mr. le Ç0nq encertitudc. S'Ctantrencontrédflnsdeuxoutrois nc'tablcme faifant l'honnCurdC m AIIN(‘\'; n aura occafions , oùin avoit beaucoup de danger , il eu garde de m‘env01er un ignorant , «"îi'ue laparr en fortit fi peu émû, qu'on auroit dit qu‘il avoit dont vous venez, ne feroxncc pas … a:>u(er que lettres qu'il ne lui pouvoir arriveere mal}. La. de croire autre chofe , finon que vous etes le plus campagne ne s'acheva pas (ans qu'il montat en. core à cheval; car la blefliu‘e fit plus de peur, a ' habile homme de Paris._ t cl'pr1r (on remen entie remis es ayant Les parol caulbde l'endroitoù elle croit, que demal. En {lacheva delepenfer, mais non pas_fans appele: effet, il ne garda la chambre que dix jours, au trois ou quatre des plus experts Clill‘ll_l'g10ns (lg bout de[quels rien ne le pitt empêcher de retour… l'armée , pour faire von aux autres qu‘il avouer neràfOn devoir. Les Generaux même n'eurent railbn de dire ce qu'il avoit dit_. En cflct ceux pas ce pouvoir fut lui, quoiqu'ils lui remontrafqui en pouvoient juger ,'convmrent que. een-; fent que c‘étoit trop fe hazarder en l'etat où il incifion étoit tres-mal tarte , & chacun huhu: c'toit, que fa blelli1re n'étant pas encore tout-à_ le pr0césàcelui quiyavoitmis la mam , & melti". fait refermée, l'air étoit capable tout feul de lui un de ceux-là difantà Mr. chhaflillon qu‘il l: nuire; qu'ainfi il valoir mieu>g differer encore devoitfiaire chaflerde l'armée. Que voulez vous quelquesiours de fortir , que d'etre caufe foiJnë- lui répondit-il , il y aplus de ma Faute que del: me de fun malheur. Mais comme ce n'étoît que fienne , je me fuis misentre les mains fans le con. par confeil qu'ils lui difoient ces fortes de chofcs, noitre, & ie ne crois pas qu'il ait Crit ce qu‘il; & u‘ils n'ulbient point de leur autorité pour fe faitparmalice. Ilefi allez malheureux de te pas faire obc'ir , il acheva de fe guerir dans la fatigue… mieux (gavoirfon métier, peut…être l‘aprendra Cette campagne ne s'acheva pas fans qu'il fe t-il mieux avec le temps, & tout ce que je pui! faire en attendant , ef't de ne pas confeiller âme; amis d‘avoir recours àlui, quand il.c auront befoii de chirurgien. figualñtdenochau. Etantallé à lag: erre avec _un parti de cavalerie, il fit rencontre des ennemis , qu'il chargea fi vigourequment , qu'il les mit en fuite. 11 prit même le Commandant priCet accident ne lui était furvenu , que parce fonnier avec une partie de fa troupe , fi bien que qu'ayant laiile' fon équipage air-dela de la Meule, cette a£lion ayant encore contribué à lui donner celui qui le conduifoit n'avoir pas encore trourc de la reputation , il fut fortbien reçû duRoi, qui l'occalion deleioindre. Car il avoit dedans un avoit une eflime toute particuliere pour les braves habile homme dans ce métier, & qui n'étoit pas gens. Il pallà par Chantilli devantque de fe t‘en… «capable de faire une telle bévuë ; mais Dieu lc- dre àla Cour, & le Conne'table'qui vovoit qu'il permit ainfî, pour faire voir de quelle fcrm€téîï étoit homme d'efprit, le chargea de fesinterêts. ?"01ï (l0iié ce grand homme. Et de fait , l'on Mais il trouva que fes ennemis avoient tellement ;ugea delui dés cemoment, eue puis que-cie par pre venu l'efprit du Roi _, que quelque adrelÎe qu'il rerllesoccafions n'étoient pasËapgbl cs de lui faire eut , il lui fut impollible de rien ménager à fon {:l‘dl'eflelÿang'fi'oid : ilyavoit lieu _de croire qu'l avantage. ll y avoit alors deu»: b:igucsä la Cour, '…C0n ellemltdfifi$ quelque endrort qu il fetror- l'une en faveur du Dauphin , l'autre en faveur du "& C€P°Œlal}t ce fotlpçon fe convenir biento: DL'.C d‘Orleans. La premiere éœit Ibùtenuë par er. " " B 6 l‘avaz;_-‘ |