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Show L1v. I. I, A V I F D I" 4 defoin de l'éducasion deu-Îni…d, qu'il l‘°""05 £1iredeceluLlà. lllinaiii-dv au ‘I‘.I‘.Miîi'î‘(1llCflÿ enfant fcroitun jour n pri… "a, \l(‘ … cnpariimdg, nrmcs,car È1pcine tnt-il fi-1-tf AL Î.1mnncllc,qu°on \‘it qu'il prenoit un plaitïr ( = r ailcscllofes qmfiupallo1entlcsyenîansdi‘ :_ n ‘ ‘ ‘ …1r ilquim tousleS]ouetS,f}honln1.1u ;? ‘ \ ‘. \? ïl'l‘l‘len' dreunepique, &nncpc;itnafzÏ . \ tôtleCapitaine, & t.‘.n:u: lc‘.=.… paroitre tant de fl*udans i'Î<--_ '.‘.‘…lnî.‘3n. il 1' , "' ll i.lll1t \ ' , <‘ll ll 11 MCH pasïnoinsdegmœim l‘un. ‘l'ï .. ; _\ n…… GASÎ'ARD DE COLÏGNY. 's LW. I.‘ ras un jour parler de toi. Cependantpoprvoir iufques oùpouvoit aller fon courage , il 1… (lit de fairefaire une décharge, mais deie retirerincon. tinent , afin que cela nelui fitpeur. lvloipeur, lui répondit l'enfant , nl1 Honfleur, vous avez bien méchante opinion de moi , & vous allez voir (i je crains tantle feuque vous penlez. Au mê-n1etempsilcommanda luimlïme detirer, & neî3urcillantpdeeulcment, il fe tourna version pere, ñquiil demanda s'il avoit encore la même Voiantce'la lui .tppriz lui:: …« l \ .'-' :Üns, &illesfcùc"parlairem…- au :' :.'1\. … v‘.Ïèzoir capable defairclhi 'cl‘t xc.u.:‘ \ :: ':;: ‘ ::. .‘3i tout pcniéede lui. entier. Sonpcre prcnaaa p'..i5iir _«. voulut Vo1rs‘ils'enaqnimu=i: .…iilî-i< n .…x :. '.\ l‘oldRu: ‘ !… le, "; les f3ifnnt revenir l'épée haute , la ioie I . Cependant ce jeune enfentne/p1at point plus de plaiiir, qu'àvoirces fi'»lcl;itsl‘epce % la main , & fon pere les ayantem*oié; a la par]- éclattoitfi fort dans l‘esyeux, qu'on eûtdit qu'ils . > ‘ _qu'1lfä-rfoetnvec dcspc:1:z \ l1;Ï…H' L, l " …'_\ \ \ Er: , qu'il ]… av01t fattgcluctcr«_ p &l1'cÿltil"l , il il venir , .…. . chez lui une c0m;mur. :c ,«\.«,. ,‘.. \ - l .‘ _ ,… .. , c\ 1… dl- fant de fe mettre à l.11c;c ; IÎ lf‘…ir C -a… , lui ré. pond1tce;euneenlnm, qar::.; " ïlîlîlt‘Lîl'Ôtre épée, car iene iî_x1i … cil l.". iufcv:1u. llvou'Îutlnluitirerenmème "';Hï‘,\ il; l\?Yl …:c, until ÎlV01t d'exnpi'eflement de iliir. le (Iap".1inc , unis :! peine la pûnilfefnenir , Ct' nrw' ol»Eî ;:-n. le Maté; c'hald'envoier clxerclme1 la lie Hi".L‘; il li;i xi: l:nncr - aufliun haufl°ecou, & dans (et a:irail , il lniiî£ faire des chofes qui le 1… illÏ;iç-nt *n mln;iratio n; étoient pleins de feu. , Depuis ce temps-là , il fitlutqueleMärechetl de Chaflillonlui donnât fauve :le même divertill‘cment, & pourne paint donner la peine äd=:sloL dats de venir , il afië11abloit fes domefiiqncs , & Ceux de fa fe mme , & en formoit un bataillon. Mais comme ils n'ëroient pas ûilésàces Fortes de cl10fes, c‘étoit un plaifir de voir la colere de ce petit enfànt, il les ap;{veloit idiots , & butors , mais quoi qu'on lui eût donné une petite canne pour châtier ceux quine feroient pasleur devoir, on remarqua qu'il ne le fit iamais que de la langue, car ce Pe_titcnlant rcmarnua auîlÏ bien qu‘un hom- ce qui fit ing-eg que quand il fl:roit en fige , il ta- meauroupûfäire, ceu>dqui firent lvir &CCUX qu1firentmnl, (le fortequ'apufis‘cm: :,ml.-m uco- que par aucun mauvais traitement. ere contre les uns, il choi1it un ll>ld.n entre les autres, aqui il donna fon épée , di211nt Qu‘il 1‘Cc°‘_nPen_f6ï0it toûiours ninfi ceux qui Si.lqult€To}entb1en deleurdwoir. Son pere lixt li)i'tfill'- Êïi1ÊËQËÊËÎIOH'J'c-lii fent0it dÎÏla le C.}PitJiflî, ülOndc P 0 _nt tenn_uel embrufier_devanttout} -> lll°fulS_blellti'0nlpc, dual, onu…- claeroit bien plutôt d'avoir les gens parla douceur, Cependant il Brune réponfe %! fon pere quilélixrprit, & qui en eñ‘et n'etoitpas d'un enfant de fonâge: voici quelle elle fut. Avant remarqué qu'un de fes domeltiques avoit thit fon devoir mieux queles autres , ildemandaà fon pere quelque argent pour le recompeni"er; le l\wInréchal de Challillon lui ditqu'il lui donnâtfon épée , comme il avoit fait uufoldar , maisillui fic réponfe , que ce qui était I-lï A ; bon. |