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Show .a…x=--e-- _vaI n. vzô ‘ L A V I E D E t qu'unfembla. mais faifant reflexion aparemmen que cçlnfe f, ble procedé donneroit a connortre erort , 1. e en il_ qu ce feroit que par ialoufie ent e\n{partrcu. contenta de luiend1re fon (entam aire des lier, lui demandant fi c'etott ‘a lu! , aau(Ï i perrefens de cette force. Il lui voulut ""îuà'sfq'uc a fuader qu‘il choquojt le Rouen cel l on, c'étoit prefque la meme c_ho\le , _que si aparte. u'il fcavoitmieux que lui, aqui devort GASPARD DE COLIGNY. 321 Liv. I-I_: 5 devant que de s'en retourner àParis‘, & croianc que ce qu'il avoit pris étoit capable de le rembourfer des frais qu'il avoit fairspourla guerre, il crut [on argent bien emploie. Comme les Princes (ont encore plus fenfibles aux heureux évenemens, que les autres, d'autant qu'avec le Le Connétable ne (e contenta pas de lu1avou profitqu'ils en retirent, il leur en vient encore de la reputation , il ei't impoffible de reprefenter le favorable acueil qu'iliaifoit à tous ceux qu'il fçavoit y avoir contribue". Le Connétable fut plus avant dans fa faveurque jamais, & Mr. de Cha- fait cette lecon , il en garda encore un certam reiÎentiment dans le cœur ,_dont11 _aur01t eu_b1en étoit un fecond favori , H le Duc de Guife ne lui nir la dépouille desennemrs. . . fiillon y eut tant de part , qu'on eût pû dire qu‘il plus de peine à revenir, S'il n'avort eu ai\Ïa1re : ait difpute' cette qualité. Cependant cela n'em- toute heure , & à tous momens de lui;_& alave. peclra pas qu'on ne parlât de lui donner une des plus_ grandes charges de la Cour; mais comme il rité Mr. de Chafiillon avoit tant d'inclmauon au métier, que le Connétablele trouvor_t tout auili habile que lui, luicependant qu1le fariortdepurs :1\'Oit peur qu'on ne lui retirât la fienne , à caufe lus de quarante ans. Cela paroxfi‘ort dans tous del_'editdont j'ai parlé ci-defius , il en remercie le Roi,\le fuppliant que s'il avoit quelque Grace à les Confeils de guerre , où il difort fon avrs avec tant de netteté , & de iugement , que tout le que lui. Ce frere qui aprés fa femme , & deux {… a faMaifon, ilen gratifiât plutot Arîdelot, faifoit encore beaucoup pour lui , c'ei't quon Cphns que Dieu lui avoit dêia donnés, lui étoit }‘zus cher que toutes les chofes du monde , étoit fçavoit bien, qu'après avoir ouvert\une 0Pm10fl âii‘cerînÂlîciif, oula guerre fe faifoit_, aniÏi-bien il en laifl'oit rarement l'execution & un.autre. dequoi le Roi le reprenoit fouvent , lut d1fant "€ , donti_l étoit-iäns doute aufii capable que per- monde étoit obligé de s'y rendre ; mais ce qui qu'il n'apartenoit pas à un Capitaine de vouler: faire le foldat, non plus qu'à un foldat_de vouloir faire le Capitaine. Maisil repliquort acela» qu'il faloit qu'un Capitaine fit le métierd‘un fol- d3f , quand il en étoitbefoin, tout de memequ Il ref0Ïfàdefifef, qu'un foldat pût faire celui d un Capitaine. _ 1agne. Il y commandort l'infante- fonne, (Il" fut dans le Roiaume; mais les affaires n payant pas tourné aufli heureufementqu'où l\tfiïoxeton, ilfiit faitprifonnier , & emmené à -n. Le Gouverneur de cette Prov1nce ]… Et toute forte d'honnêteté, mais comme il avoit i£ri°${ïtrîn diver:fes rencontres que l'Empereur ‘ « 'n avoit pornt d ennemi plus entendu Quand on eût donné ordre de conferver Dam- îîïïâ:1eperde la guerre , ilrefuiä de le mettre villiers , l'armée tourna contre Verdun ; & cornmc C'était une ville de plus grande renommem que de défenfe , elle fuivit la defiinée des autres. revit-i- celle o{us (p)Èexte que, le Cartel qui devott Oiilui fit réL es … tiers, 11 croit pas encore fait, __ ponte qu il n yavozt pas grand' cluofe & tane pour cela, & qu'il n‘y avoir qu‘à fuivre Le Roi fit encore quelques petites conquêfâ‘» en F celrl |