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Show L A V I E D E GASPARD DE COLIGNY. 23 Lwl Il; Liv. I. " 'emefilîsvû obligé de jufiifier la conduite dell; Lors que Mr. de Chal'tillon arriva à la Cour, ÈeChaûillon, d'autant pl}{s que 1_a1 Illidansur le …niaume qui avoit reeû une facheufe playa Auteur de ce temps-la, qu il n et0àt paslet0nmr; ar l1 will-nde François, qui 3\'oit été prisàla u‘un homme , qui a l‘on entree fans e m0ndg £a ‘.f‘l «‘e Pavie, iori'ilÎoit d'une naix, qui était avoit manqué à ce qu 11 devort a Aononcle,lqr tor.< i,; ,.iurs ala veille defe rompre. La l‘aifon étoitlebienf3iæur dela Ma1f0p, eut rr_lanqueen ell . que ce Prince trouvoit que les loix que fuite à ce qu'il dev01t au R01 fon Maure. "Ma}; Clrw- " \‘. lui avait fnife5 , pour racheter fa cette reflexion n‘ei‘c pas yufle, quand meme il le. liL ne. e…ient trop dures , & trop infuportatoit vrai quela Marlon de Gulfe eut contiirbuea l bî-…< . & qu: lui pretemloit qu'il les obfervâr. difgrace du Connetable ,_ purs queles mm (11.1 nous attache… ‘anôtre Prince , etant encoreplrr forts que ceux qui n0us attachent a nos parens, : Truite la iç-m:llè qui ne cherchoit que les occa- flans lie «a- lignaler, deliroit paflionémmt la rup*uw d‘une paix fi honteufe. François étoit d rw< l *: mêmes lentimen< . mais commel'expe- Cette union qui faif01t a1nli parler tant ds unaniwîlÏs. croit «le ne les pas ligvrercom- ‘ - lui .1\'nit apris, quece quifaifoit échouer ; , … --O monde, nelailla pas non-feulement de fublillr malgré tous ces bruits , mais elle dev1nt entr-r fi efroite , qu‘on les voyoit raremenql‘un la: '-°"‘. s‘enfuit que nous pouvons rompre les uns avc; moins de honte queles autres._ '? , il ' nlr i'.1tlg\t:'tr\ a… de lèiiittifi€i‘dê Ç\ l‘.1llz.i:n _……_ Cell pourquoi il diffi- llstâchoient de prendreles mèmespla_ n- ": l-‘ n uneaux nutmg:S , iufques à ce qu'il c»… 't" l'uv & l'autre: mais aprés avoirpris tou- (its, failbient les mêmes Vifite5, & comme 5: eu1lent …} peur de le quitter, ils couclrorcnten n_ A ' il pic cinq belles armées , dépenfe prod i- l'autre. fcmblc le plus fouvent. Ils s'habillorent encor d‘ordinaire l‘un comme l'autre , ce qui Ane plane point au Cardinalde Lorraine , lequel etant re" ge d'ambition, s'étoit laifl‘é aller à cr01re cee1‘: j‘ai di' chevant , fçavoir que Mr. de Chalth n'agiflbir que parles confeilsde fon oncle , ti- lcment que ii le Prince de Joinville n'y Pl‘CI‘.Ç' "36 , il S‘y verroir trompé. Mais tout cent lits uns & les autres pin-ent dire ne fervit dent? & ils continuèrent de vivre comme ils avoir commence. Avoir leur conduite , il ellai1c… "°…" qu‘on n'eût jamais dit , que deux 11 {11115amis dullent devenir fi grands ennemis 3 & a. ylus ell , qu‘ils full-ent caufes un iourde la…" A undel‘autre. Mais voilà dequoi l'ambition :' f3l‘al‘l€_, & c'eli ce qu'il ne me fera pas difficile:- la…: VW danslafuite de cette Hiûoire uw Î:< iut-"mes que il prudence lui fuggeroit, il :_vpr»… un Prince , qui avoit foûtenu la :; . -, .‘cpuhqu'iletoitmnuté furletrône; & qu ' nl". ‘xl‘. \ .i…it cte oblige «le donner plufi eurS rr ‘ ‘ --:u_m… Ktm… …. Maisl'enviequ'il avoit vl … -. 'i r ". m:_çe, lui :I\'Oit lait créer un noml :rini llülits, cequine plaifoit pastrop aux p ;, ‘ -<, & même nous verrons l'effet que cela c-- .‘.‘..lltf qu'il li»it peu. Mais il Falut mean- lt' . ,nt‘_L1'il\ lvli:uliillent , C.'ll' le Roi qui étoit « c_ (‘ 1 '. lin: |'-s volumes, bien loin de vouloir … luf ti: aucun-œ remontrances , aimo it ‘.' vnl\:lt pmmtemcnt. L'argent fut donc 1 . ', :î‘..l : non pas lan< laire crie rles uns &les a , … |»vrvlugnoi<rntque[buspretextedelæl -, ." ……up de gens pilloicnt a droit &à «; . 'w- !‘;n'excruptermt pascle ces rep rochesla ; L{me:S, Mai Li__ ;..txr. \.' trefleduR0i, mais le .R°î |