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Show fion mvmçoh,‘ç rain. Or comme cette inva ni?iens ne 5, Vt‘ lie d'un dur efclavage , les rs le'l"urc, … pas plus de façon d'envoier ve tions. La plus forte de toutes qui le Roientrec eurde choquer Soliman , ave , à l'exemple de e oit étr nce tenoit une intellige fieurs fois a (on fon pere , qui l'avoir appelé plu pas tant a redire fecours. Et certes il n'y avoit que le Pape : mais que ce Prince eut recours à lui , s que (es pareils ce n‘étoit pas la la premiere foi pas fi fort irre- avoient fait voir qu'ils n'étoient ne pm‘teràrom firent de grands prefens , pour le t a l"abridg avec l'Empereur , qui fe croioi ti; armes, en vertu d'une treve qu'ils aroien ent, enfemble. Le Turc prit toiiin…s leur arg n‘avoir leur ayantpromisplus de ciroïc< qu‘il iadç que leurs interets conciliables avec le Turc , de r l'obligation, où ils étoient rs Arubai vie de leur tenir, il renvoia leu ntunert avec de belles paroles. Tout cela eta p… leur fiiÏent oublie qui que d'une guerre prochaine , ceux commet ufiër leur fortune par la , doient po rr icu. rent Elfe réjouir , & Mr. de Ciraflillo ofepart sde: clr tcs rement, lequelfe romettoittou llr courage, & dela iäveurde (on oncle. D‘ai er lat i r Ro ne au il mouroit d'envie detémoig noifl‘ance qu'il avoit de ifl-(llâflIC qu‘il lui a r donnée , & delui faire voiren meme temps, n'en étoit pas indigne. Cependant fi n‘êtani core que Colonel , il avoit été caufe de plui: belles ordonnances, qui s‘étoicnr faites , ce toute autre chofe , quandil fe Vit plus enétt pouvoir parler. Il entreprit de rétablirhdi pline dans toutes les troupes , comme il avoir: daps fon regiment , &_ce fut avec tant de doute: qu on commençaà luidonner le nom depereç {oldars. Cependant la puiiÎance de l‘Emper: et01t montée à un point depuis la batailledell reprendrcie berg» que perfonne ne vouloir ent pareillenï Chequer5 &le Roi qui avoit peur : de_s attirer des afi‘aires fur les bras , dontil p61neafîortir, fe contenta de fournir de l'art fous mam aux Protefians , fans fe déclarerdfii‘£ Ïge. L'Empereur avoit de trop bons efp‘l‘ tianäouîes.le8 Cours ,_ pour n'en être pasat lanat Ê° a 101nt a la haine qu'1lportort a ' dre van"€flm Ïîl:aneo£fe , l'auroit excité a en pren , , . D{idc: a il n'eut été retenu par de cp" Ph.] l…DÏLS LOH-| t;0£ coire efi toute le pourfuivreäcor & àcri. L'Hif‘ oit n'en être fer pleine de pareils exemples , &ce r aller contre loi vou esinûruit , ou du moins 1er contraire. Qloi a verité , que de foûtenir le part & d'autre u‘il en foit , tant de raifons de urer en deme obligerent l'Empereur & le Roi de ls toute ocaix deux ou trois ans , pendant lefque Chafiillon cafion_êtant ôtée de fefignaler, Mr. de , que par n'eut moien de fe difiinguer des autres fortàla alors des cour-fes de bagues , qui étoient s'abf'tenir des de ua mode. Cependant il contin , & de (on é debauches où les gens de fa qualit , que tOut ce âge , étoient tellement plongés e devilain, &de diffolu, n'aproehe qu'onpût dir en rien de la vie qu'ils menoient. le l'obli- Parmi ce temps de repos le Conne'tab emoifelle de gea de fe marier, & il Époufa Mad & fœur , Laval parente fort proche de fa belle 11 nele tant même nom, & mêmes armes. por pour fon fit que par la complaifance qu'il avoir s'étonde u lie oncle , dequoi on eut beaucoup de ti aufli ner , puis qu'après avoir refufé un par defius, ciavantageux , que celui dont i'ai parlé plais il n'y.avoit pas d‘aparence qu'il fut plu com fantdans untemps, que dans un autre. Mais ce reux qui l‘y porta fut , qu'ëtant devenu amou & en , ion d'une perfonne d'une mediocre condit n n'étoit ayant tiré des faveurs , il crut que rie plus ;_..:. ..:.s,.;;,. LIGNY. 91 Liv.it GASPARD DE COfut la crainte qu'il D F, :.m::… :À.f L A V I E l i ? |