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Show 85 LXV." GNY. GÀSPARÏ) DE COLI ce t tou de e gn t fut di um que le merite d'Andelo difir r ialoufieleu u'il y avoit de plus grand , la ir ete Facr1fiee. l avo re que Mndemoil'elle de Lava t pornt de rarller1e . ndi nte Andelot l'ayantfu, n'e bâton à un Gentil& il fit donner des coups de excité l‘) L A ‘v' ! ? u'il avoit POur moi. C'eu «':m': 1 , i:1- L1V.lL 34 ?aire connoitre .‘1Anclelnr qu'il n‘ (1. ‘i mi" » ' \ ‘He35 re : mais lui qui ne voul<>ff P-"‘ "" " ‘»"ài'er fecret, avant que de l'avoir vnc…" "C‘." \… qui éroit homme du Comte d‘Anguien , , ätenir ces for- t n Maitre , à ce qu'on croioi tâta de toutes fortes de manie-rw _ ,',. -»…(i qu‘il n'eûr plus de lieu rl'J‘-'«"!fl .11». vu. 'fçrur Ainfiilne fit plusde fÏ.içon apre-; cr-Ï 1 -‘ -Ï11-' lc arfo tes de difcours. ne'table, aioûtantencore nmum 151-' .[,J….£… Ï 1" 1‘/ 'l'"\ qu'il y voulût penfer , il 1115 pretentions. Mr. de Cli.1llill 111 ' -:1<'1 luiaymitteinoigiië qu‘il au1oi.* .1*1'.1:" H.» 1 cette affaire _réiillit que l11i1i1(‘111f . .-.‘ ‘.;'.;' retrouver le Connétablv , & l - i». .1 1'- 111" mettrelesfers aufeu. La pi'r-pr>lî" - 1 dure àlaDemoifelle, qui au ‘.icz1 «". '. '1'.' Princes , entre lefquels elle pour‘nî' uloir le faire d'af- Connérable, pour ne point vo t il fit dire à Andelot qu‘il avoit for faire avec lui , lÏé ceGentilbienfait, & que même il avoir clm mpiiAndelot pour répondre à ce c0 homme. nt d'ignorerqu‘il ment, leiuttrouver, & fèigna Oit fe fîr futälui, lui afl‘ura que s'il l'avoitlÏe1, ililavoit Fait: bien donné de garde d‘en nier comm 1.111" meme desPrinces du ihr? . \';1"«.1'f il ère-it qu'il lui en demandoit pardon , &: qu' on aûi qu'il tout prêt de luien donner telle fatisf : …'1 offroit qu'un cadet. M'i1‘ê q111:ul A.;» i '.…i li1' rendu une Vilite, & Aprés cc-l'.c£ 4 vi J-111r<" :* tres, les charmes de fa perC.nvw 13151- qurluipouvoit manquer, de li…-m. ;». 1_--ï- " d'y avoir toûjours lanrê1nc1'e1v-uvvifl" «> ' desdefi_rgpourquelacl101‘eri1ïiriifi-Ï" … . Ces"qur\etoient embarqués , trouve '» :" î‘Α.'Ü.Î"' >) ‘l" "_0fûtfemefureravec eur , & v»-r-11'uÏ:rs:0" r. iÏ.-É.î';n:-" ne 1€'}Hènt Pas fOllfert fansolbr Connemble n'eûtfaitinrcru mïe QiOi qu'il en foit , le Co reflentiment de cet: d'Anguien ne témoignn aucun nt de ce dont on le afront, &foitqu'illirr innoce ‘ezla fortune du foupc_onnoit, ou qu‘ilreveràt all rer la propofition que lui *.‘r: 11' i: '. ‘.1we Ϋ:C l‘.1;;r . . La P"'RÎ'}'t _fe retirerent donc iÏi:1: :'Ϋ'ir..'.' ceurquretorentafl‘ez amoureux p"urs -,P…"!‘ . Cfit fort mal leurtemps. En … :*, ils: de LaVâl V0iant que la vol 1:'…C d11Îl. ÿîlfe'lâ .cc01 ou avec fes defirs,klîe leur 4 ç‘.1 nmbir ‘ ,_ tôt leur COno==' "PÜ'-iç mC : & Ander…çl '€ "Î le el "& ed laba C rb erous fes Y1Vaux_ -, e Pârler rr:;: ceux: ug co au be fit e fin af pg,.(oî;th ConnÇmblea' ' … envœ "‘ la f"°"ïul‘.e du \ \»... | s ute For defireroir. Ce compliment étoit fan do en feignant gui équivoque , mais le Comte d':‘.n fois par dele prendre en'oonne part, pins toutes e lui fit ré- yolitique , que manque de courag , -er , poule qu'il n'yavoit point de pardon Îi demand i: quand il n'y avoit point d'ofienfe : qu‘il avo e mm ho il nt Ge bien crû qu'il avoit ignoré que ce dre fut àlui, ainfi qu'il n‘en avoit pas eu le moin Ils fe leparerent de cette façon fort bons clmgri amis en aparence, mais en effet fort altere's l‘un contrel'nutre. e Le refus que Mr. de Challillon avoit fait d'un s rirl1elmritiere , & qui avoir d‘ailleur tant de .0 fur fes brifées, en s'cmlm1qum» 1l1'- le elles qualités , donna îi pen.er au Connétab ;, ; comme il avoir été ieune , & qu'il !"ç3voit cle" a u ';u >ile:ieunes gens étoient capables , ils'imaqin : ulluir}t que quelque autre pallion en étoit càuÎe il le loriifia encore dans cette penfée, quand ii iÇr. D {7 |