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Show ,,o LB JOURNAL ient un petit Payfan de la autour, p Qu'il fut fous-marmiton de Mademoifelle; Qu\m foupir qu'elle fit par un autre endroit que par la bouche, & fur lequel Lullicom-pofa un Air, fut la caufe de fa difgrace. p. i8<. Qu'il entra enuite dans les Violons du Roy ; qu'un jour qu'il avoit fort diverti Sa Xvla'jefté , il prit occafion de ruer fon coup} & fe fit Secrétaire du Roy. Notre Auteur donne enfuke une réfutation du Traité de la Mufîque des Anciens. Il prétend dans ce Traité , que Moyfe étoit meilleur Cbymifie qu'aucun Chymilte de nos jours, p. 247. Il finit cette féconde Partie, par un Traité du bon goût en mufique ; dans lequel , entre plufieurs Airs qu'il propose comme d'un bon g \\i , cuoy qu'ils foient chantez par la ca-«aille, il indique celuy-cy : Ah , ah , vous avez, bon air. p. 327. En voilà bien aTez pour cette féconde Par» tie. Dans la troific-me on trouve d'abord quelques morceaux d'un Opéra chrétien, & en-fuite un Difcours de la Mufcue à't.-gUfe, dans lequel notre Auteur reproche à M. Broflard de n'être pas allez grave dans fes motets; il fait ce reproche en des termes qui ont un peu furpris. Il demande s'il n'eft ] joly de voir M. Broflard conter fleurettes à fainteHoflicdans fôn Motet Ave vivent* jftia.ç. 113. H ajoute que fi M. Broffard éeoit moins rempli d'érudition Italienne, il n'aurott pas fait des Amen, & des Alleluya dignes & lîfEet. p, jJ3* |