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Show 3i8 LE JOUR N Ai point le Droit commun de PEmgp Ail xnagne, & que les difpofitions n'en doivent ctre autorises, qu'autant qu'elles ont étéap-prouvées par les Conftitutions des Princes 6c des Empereurs, ou"qu'elles fe trouvent conformes à Pufagë & à la droite raifon ; ainfi que , fuivant le témoignage'de plufîeurs Auteurs , cela s'obferve dans le Royaume de F XL De Legationibus Stàtmim Impmi, Une infinité d'Auceurs ont écrit du Droit d'Àmbaflade & des fondions des Ambafla-deurs. M. de Wicquefort Confeilîer du Duc de Brunfvic & Lunebourg , eft un de ceux qui fe lifent avec plus de pkifîr & d'utilité. Ceft icy un Traité particulier des 'Ambaffa-des des Etats de l'Empire, lequel n'eft pas moins agréable'ni moins utile, & qui a beaucoup de rapport au* Mémoires de M. Wic-quefort. ;M. Leibftitts a fait fous le nom de Cafarinus Turftenerius j un autre Ecrie dej* rëfuprematus Legationis PrincipumGertnani&y fur la queftion agitée à Nimegue , touchant le Droit d'Ambafîade des Electeurs & Princes de l'Empire > & qui confîffoit â fçavoir, Si les Princes d'Allemagne font en droit de fe faire reprefènter par Aqs Ambaiïkdeurs, préten(îon que le Roy Très-Chrétien n a accordée aux X'.-fteurs qu'en certains cas, & qu'il a refufée abfolument aux Princes d'Allemagne, que Sa Majèjft^ Très - Chrétienne a'a voulu recoanoitre que comme dp En |