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Show DES SC A V A NS. ,4C m Livre de Mufïque avant que d'avoir rien. folfié. p. 102. Enfuite il tâche défaire fen-rir le ridicule de ceux qui ne fçavenîL qu'accompagner, & qui, quand ils n'ont pas un chanteur fous la main , demeurent 3 dit-il, J garder le mulet, p. 109. Je vous aflùre, JVÎademoifelle, pourfuît-il 3*que je fuis fâche de bonne foy de ce que les Italiens n'ont aucun talent, p. riy. Leurs Airs font plats-p.-ioff. Leurs Madrigaux > au lieu de confîfter en des pefteries galantes 5 roulent fur de vilains fen-timens politiques, p. izo. Leurs fymphonies ne font que hannoner, elles heurtent une oreille d'un goût naturel par leurs tons bit cornus : ce ne font pas des tons,ajoute-t-il, ce font des cris enragez, p- 166. 167. Notre Auteur fe croit obligé icy de reprendre en paftant le célèbre M. Racine : il dit que ce Poëte dans fon Idile de Sceaux, a donng à'fon Héros de l'encenfoir par les barbes, p. u9. Toutes expreffions nobles, comme ont voit ; puis il fe jette fur feu M. Perrault : il Fappelle le plus méprifable de nos Poètes, p. 130. Il demande fi quelqu'un fçait que. Perrault aie écrit, p* i8z\ II disque c'eft^u» Poëte aiïez mauvais pour être étouffé > s'il y avoit de la police dans le Royaume, p. ai 3. Qu'il a été l'homme du goût le plus traître & le plus déloyal qui fut jamais. p.z37- Aa milieu de cette belle Oraifon funèbre, notre Auteur fait un petit abrégé delà vie de Lulli; il dit que Lulli ctoitd* Florence; -- |