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Show Vra L E J O V R N A L fa^esde la faînte Ecriture, comme il ne fc roîc pas mal aifé de le montrer, ce quip^. re que s'il n'en a pas fait tout l'ufage q^j devoit, ce n'a pas été faute de l'avoir devant les yeux. On ne peut douter que M. Croefe n'ait de rérudition, il fçait du Latin, du Grec,& de l'Hébreu. Il écrit même afTez bien en Latin, comme un homme accoutumé auftile àes Critiques. Il lui faut encore rendre la juflice d'avouer que quand il s'égarey ce n'efl pas toujours qu'il ne connoifle les meilleurs guides : mais on doit croire qu'il s'eft laiflé emporter à l'attrait de la nouveauté. Nous ne fçavons point que ce premier Tome ait eu de fuite , ni que M. Croefe ait encore Fait part au Public de toutes ifes'vjues fur l'Iliade; mais en parlant de ce Poème 5 nounie pouvons que faire des vœux pour voir bientôt paroitre la tradudion qu'en a faite une perfonne célèbre 3. l'honneur de jbn flecieâ: 2e fon fexe. <jERONTOLOGIA, SEU TRACTATUS de Jure Senupi, feu quatenus fîlucî ^ tum " extra judicium, quoad jus perfbnarum & jerum , tum in judicio , fecundùrn caufas civiles, locu]a-resT & Ec-clc/ïafticas,& fe-cundùm caufas criminales in legaîern con-£derationem venir ; qucrn multis qu^eftio- | nibus Se prœjudiciis Quedlinburgicis colk- I étum3& repletura^ niuic primùia publiû |