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Show DESSCAVANS. iOt ^ ifes d'origine, &• nées dans cere ïfie amendent impatiemment des Anglois au paf-fage» qu* veuillent les rirer,en les époufant, de retraite demeure où elles fe trouvent enfermées, & les conduire dans leur véritable patrie. Il Te trouva des gens dans l'étui nage de M. Dampier qui rendirent ce fervice à quelques-unes , & ils arrivèrent erfin tous enferable le 16. Septembre 169 r. aux Dunes d'Angleterre > #où M. Dampier éepit parti au commencement de Tannée 1^79. Le fécond Volume dans lequel nous fom-mes entrez infenfîblement depuis l'article de Mindanao , eft terminé par un Traité , ou plutôc par une lifte exaâ:e de tous les Vents, oui n'eft fufceptible d'aucun Extrait, & que même il n'importe gueres de lire qu'à mefu-re qu*on en auroit befoin dans un long Voyage. On trouve dan? les deux derniers Volumes une defeription plus exafte des Pays confîderables que l'Auteur a vus. Il commence par le Royaume de Tonquin ; il en marque la divifion, les mœurs , les ufages9 les qualitez rares du Pays, le Printemps con- | tinuel <juï y règne, Texcellence & la diver-fite des fruits qu'on y recueille, le grand nombre des maladies qu'on y ignore. Il parle des peuples qui l'habitent > de leur taille, de leur figure , de leurs habits, de leurs mai-fons,de leurs repas, de leurs exercice ; rien i* tout ce $ui les regarde »*«ft ÇH^^. |