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Show DES ÎCAV-A N*S. jcrivain l'a volé. A cette occafïon , il 'oa pourroit appliquer à ce plagiaire U Corneille de la FahU : il veut dire fans doute apf>lt(luer h Fable de la Corneille : mais cela peut bien fe pardonner à un homme qui dit? <}ue l* plupart des gens ne parlent $) n écrivent que par paffion ou que par h&-iitude y comme des Pies £9* des Perroquets. On necroiroit peut-être pas que rAuteur r dont nous parlons , fe piquât de fç&voir parfaitement la Langue Françoife ; mais fi on prend la peine de lire au moins fa Préface, on verra qu'il fe donne pour un Ecrivain quî<* droit de prononcer fur cet article, & qui fçait 3 pour me fervir de les termes, k force 5 l élégance y Vutilité &lafinejfede$ mots & des expreffïons. Il fuit dans fon Livre une ortographe un peu différente de l'orto graphe ordinaire, écrivant que que y queque* fou, &c. au lieu de quelque, quelquefois, &r défigurant ainiî plufîeurs autres mots.. Mai*. il foutient que la-rai Ion demande qu'on or-tographie comme il fait. Il dédie cet Ouvrage à Monfeigneur le Duc de Bourgogne, il dit que c'eft une idéô deTUnivers qu'il lui offre avec autant de rai-fon & d'ardeur, qu'en eut Alexandre d'en vouloir faire la conquête. Nous aurions pu nous paffer de rapport ter tous ces endroit? > niais il faut faire cqû-$9}tfe ua Livre.-------- -J |