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Show jîo LE JOURNAL verfes Hymnes. Le o.rcmier lieu que l'on vi fita , fut ceîuy du piilier de la flagellation* duquel on garde^ungr.ti^ morceau dans une petite cellule prés la Chapelle de l'Aprari. non; un Moine y fit un Sermon Efpagnol fur le fujet de la flagellation ; puis on s'avança avec un ordre pariculier vers une Chapelle appeilée /a Pïié-on deChrifty qui eft un endroit où l'on prétend qu'il fut gardé pen. <îant que les Soldats cîifpofoient les cliofesne-cofiaires nour le crucifiement ; un troifiéme Moire ût là un Sermon en François. De la prifon on fe rendit à un Aurel nrmmê \ Autl du *artag* d s knbm : on chanta là Une Hymne ran? faire de Sermon* On fut enfuite à une Chapelle , qu'on nomme la Chamelle de la Dtrifion , où 3prés le chant d'une Hymne-, il y eitfun quatrième Sermon qui fut en rra^çoi5. An fortir de là on s'achemina au Calvaire, & on laiflà ks fou* liers au ba? de Tdcalier : on y vifîta un Au* tel , où, Ton pré end que Jefus-Cbrift fut clou? fur la Croix , on y pofa le grand Cru-cjfi dont nous avons parle , & on y rcore-fe^'ta la tnan-ere dont fe fit le crucifiement : on chanta ensuite une Hymne , & un autre Moine fit un Sermon Efpagnol fur le fujet du crucifiement. De cet endroit, on fut a un Autel voifin , où Ton croit que la Croix fut plantée- A cet Autel fe voit un trou, quon dit erre celui dans lequel fut pofé le p la Crois : les Religieux y plantèrent |
