OCR Text |
Show Jî4 L E J o U R N A L iagiutx, en font des marques; enfin le Pa*. ram étoit tellement confîderé comme leper adoptif, que l'on croyoit qu'il appartenait t tes Filleuls une portion dans les biens de f fucceffion. 3°. PèrArma, par les A ' que les Princes donnoient au plus brave Dol Kconnoiflance de fa valeur & de fon mérite C eft amg que le ROy des Herules &t adopl" te par Theodonc Roy des Gôts , Athalaric mrl Empereur Juihmen, & Cofroës neveu duR5ydePerfeParJuftino^ PJ4.z,rf^ lum wlcomam, en coupant les cheveu* comme il fe pratiquoit autrefois en Al W *ne* l • F? >»*tnmonium, lorfquecelw ou cejle qui fe remarie, ayant des enfans d'un premier lit, les rend communs à l'effet dl pouvoir fucceder a l'autre conjoint par une efpcce d adoption : c'cft ce que quelques Cou-, tûmes ont qualifié du nom dW>W ' Sd eta,bIl^ment ^ Droit public d'Aile-magne, de l'Empereur, du Roy des Ro-mzms, & des Vicaires de l'Empire Germa-. V IL- De unitate Rèùublïca in S. Romano jnpftio. Ceft une queftion- qui partage let Politiques , pour fcavoir fi l'Etat prefent de * empire d'Allemagne eft compofé d'une feu-ieou de plu/îeurs Républiques, L'Auteur en prétend prouver icy l'unité & l'indivi/îbilité <te toutes Ces parties, fuivant les Loix fondamentales de l'Empire. Il le démontre parla |