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Show CC DES SCAVANS. . pagne d'un terme de l'avenir > comme « ^ quand on dk:Je croyais qu'il partit de- Cc 1 main. Il fe peut entendre aufli du paiïe, étant accompagné d'un terme du pafle, com-f me quand on dit : Je croyais qu'il fut hier <c I a U campagne, (page 24*.) cc III. Exemple. Quand le verbe ren- cc \ ferme deux affirmations, il faut que le fe- u I cond imparfait foit accompagné d'un ter- Sc I me de l'avenir, ou du paiîé, comme 3 Je <* I croyais quil devînt fage un jour , autre- cC Lœent on ufe du premier imparfait,com- u I me ? Je croyois qu'il feroit fage. On c€ I peut auffi ufer du plus que parfait de Tin- <c I dicatif ou du fubjondif, comme , Je ju+ f5 I geoii ou je jugerai* quil avoit été, qu'il u -, auroit été s je eroiois ou je croirois qu'il ** k eut rcç&t ( pag z^f) cc IV. Exemple. Quand les verbes c* I renferment deux affirmations après le par- c« I fait indéfini, on peut mettre tous les temps c« I d'indicatif & de (ub}onâif, hormis les pre- c< ¦ fens & les futurs , comme , paiera qu'il *c [ Àf, qu'il feroit, qu'il ait été, (p. 24^.) fc V. Exemple. Le futur des perfonncls ^ K veut la convenance du prefent après ^ ; c< I comme f aurai voulu qu'il aille. Le fu- cc I tur des imperfbnnels veut la convenance cc ; du parfait apres que, comme Uaur&fiiU cc ; / ^7 foit allé y il fera arrivé qu'il fc (p. a47.) « |