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Show D E S S C A V A N S, aiJ pliilofophes> mais qui ne fçauroit être trop répété, que nos ^ens nous u'om >ent i q^ils ne nous font donnez que pour la conferva* tion de nocre corps ; & pour juger à cet $*? 2ard du rapport que les autres ont avec lui ; mais qu'il ne faut jamais les écouter quand il s'agit de connoître la vérité de ce que les cort>s font eux-mêmes. Il eft vrai y encore un coup? que,ces veritez font rebattues;mais elles font d'une utilité infinie pour la Phy-iîque, & pour la Morale. Au refte ? on les découvre fans peine 5 parce qu'on a 3 dit le Père Lamy 3 une ires-claire idée du corps , m de U fubflance étendue j ^5* fur cette idée il ejl très-facile de connoître toutes les proprtetez & les modalités dont elle efi capable* On ne fçait pas bien syi\ fera aufTi facile au Père Lamy d'accorder cet endroit avec celui ou il a dit que nous n'avons pas d'idée des créatures (5* des ouvrages de Dieu > ^ que nous ne voyons des êtres corporels y que quelques peintures croquées 5 Ç5* quelques £hjffares ébauches de leurs furfaces* On a dans les trois derniers Entretiens un E% de Logique. Le Père Lamy définit la Logique,/\.3r/ de mener ïefyrit a la vérité , tom donnant lajufhffe. Il montre d'abord ^e l'entendement eft purement paffif, & °M ne fhlc qu'appercevoir : que le jugement eîl la détermination de Vejprit far U vtis du rapport clair ou apparent de deux id&Sy K 4 |