OCR Text |
Show ino MANUEL COMPLET devient embarrassante quand le denouement ap* proche , et qu'il devient necessaire de s'en de-faire d'une maniere ou de 1 autre. L auteur se trouve done oblige de saisir la premiere occasion qu'il trouve de s'en debarrasser par le fer ou par le poison. » Ce que Pecrivain dit quant au nombre des personnages est parfaitement vrai; mais il faut ajouter qu il n'est pas necessaire que le poete massacre une sion de sang; on peut le prouver par des exemples: le poignard et la coupe de poison ne sont pas les seuls objets qui soient susceptibles d'exciter la terreur et la pi tie'. N O T E (17), P A G E 196. Philippe-et Virginius sont deux personnages des trage'dies d'Alfieri. Les personnages suivans de Corneille, Racine et Voltaire, sont des modeles d'e'tudes profondes pour les acteurs : Curiace, Au-gusle, don Carlos, le Cid, Sertorius, Nicomede Chimene; Aconiat, Neron, Mithridate, Achille, Agamemnon, Narcisse, Phedre, Hermione, Berenice, A thalie, Boxane , Clytemnestre, Andromaque; OEdipe, Brutus, V Orphelin , Tancrede, Mahomet, Orosmane, Gengishhan, Merope, A hire Semiramis, Adelaide. Quant aux personnages de come'die , Moliere seul en fournit un assez grand nombre. NOTE (18), PAGE 300. « Si un soliloque n'a ni objet, ni inte'ret, ni consequence, il devient ne'ecssairement pue'ril; car les enfans, les imbe'cilles et les ivrognes ont Phabitude de cette espece de soliloque. « Le monologue parait absurde si on Pemploie pour de'biter un re'oit historique qu'on n'attend nullement d'apres la situation du personnage qui en DE LA DANSE. est charge', ou qui n^a pas de rapport avec de Paction generate ; ce n'est plus en em lo<me, mais plutot I'auteur qui havard in 1 avec les progres 1 eflet un mono- UUL 1 amuui «-jm uuvarde tandis que leVr'sonnagc qui pa«le, devrait agir au lieu de muser et d'exposer a nu la pauvrete du genie du poete. » (ROUBAUD.) NOTE (19), PAGE 101. Voyez D'Alembert, Batteux , Btaux-arU, par-lie III, chap. HI; Marmontel, Gravina, Dubos, Maflei/Montesquieu, etc Ce ^ ^ » une predilection particuliere pmu la corned e 7l'soPe a la cour, par rapport a la morale q 1 elle Inferme Cette production de Boursault donne Sellment Instruction la plus utile, et sans aucuu autre argument pent repondre aux paradoxes de t .Rousseau conVe le tbe'dtre.Beaumarchais anssi^ dans ses prefaces vives et satinques, mculque la morale dramatique de ses pieces. NOTE (SO) , PAGE ->O\. Mesure, mouvement et caractere de la musique ^iTi^rrhique (M) et le tribraque (UfJU) i t e 5 Por les mouvemens pyeux et ^egers T\fd™££&ei ^s mouvemens lent* et ca mes de la danse saunu , ^ molosse sont accompagnes du spondee tranquiUe et ( ) ; les passions d un caractti e u au { agreable sont representees par le trochee (-- o ) et quelquefois par ramphibrauue ( ^ Y a u e l S - ) , ne mesure douce et tranquille. L lambique {KJ ) est pleine de force et de leu; 1 'anapeste ( U U - ) e presque de la meme nature, mais elle « prime 1 * _:«!«„* »t nuprricr. Pour expi imei dont le caractere correspond ires uitu * ^ ----- dont ir ea r_ ^ u n e i d e e frap. tions. Li antipasie ^v/ . ' .. Dnllp ox-seulement qu'il font employer, mais aus* It qua |