OCR Text |
Show 446 LES FOURBERIES c6maraut, cevelitre? Le Seigneur Geronte, Mon fieur, n'elt nyfat, ny maraut, nybelixrc, & Z l devriez, s\l vous plaift, parler d'autre facon. Com •,J7 ment, tu m e traittes a m o i , avec cette hautur ? il **n aetens , c o m m e jedois,un H o m m e d'honneur i'• ^ Amis, a la von nehure ] donne plufienrs coups debl c\u**iion Jnr lc SaCm Tlen- Boila c£ que^e" re" v a t a™ » u y . Ah,ah ah Ah,Monfieurq A X ^ C g{*y ^Sl'uTyocute-lbae aud.e Amha, p adrotu ceAmdeinutf,xa a,h7, Aahh,f aDhi. aBWae,p orteK! Oalcon. A h ! en fe plaignant & remnant lc," ixU ayoit recen les coups de bafion. : a«) ctmmt G E R O N T E mcttant hors du Sac. la tefie A h , Scapin, je n'en puis plus. y 0 y t * ? s J$ "liCAPU, IP***]® A H , Monfieur, je fuis tout moulu , fclesepaules m e font un mal <£pouvantable. <}7Z£*& <Jl ov-t, G E R O N T E . C o m m e n t , c'eft fur les miennes qu'il a frappe*. * S C A P I N. Nenny , Monfieur , c'etoit fur mon dos, qu'il frappoiu G E R O N T E . Q u e veux-tu dire ? j'ay bien fenti les coups, & les fens bien encore S C A P I N . N o n , vous dis-je, ce n'eft que le bout du baton qui a et£ jufques fur vosepauks. G E R O N T E . Tudevoisdonc te retirer un peu plus loin, pour m'epargner... S C A P I N , Utj remzt la tete dans lc Sa:. Prenez garde. En voici un autre qui a la m'.ne d'un Etranger. Cet endroit oft dc mcfue anc telajdn Gafcon, fourUchangemenSdeUmgage, &lc jendeThea-tre. Party moi courir comme un Bafque, & moi ne pouvre point troufair detout lc jcur fly tiable de Gironte ? Cachez-vous bien. Dites-moi un peu fous, Monfir l'Homme, s'il veplailt, feus fcavoir pome D E S C A P I N . 447 \ 1 Vft ftv Gironte que moi cherchair r N o n , ?°™c r iene fcay point ou cit Geronte. Dites- ^ u v o u i f r e n c h m e m e , moi ly fouloir pas gran-f 1 infe a lui L'cil feulemente pour ly donnair de C >, re a e furle dos d'undouzaine de coups f ?C;ionncg & de trois ou quatre petites coups ac baitonnc , cc uc n allure, d*pee au trafers de te £ * « " J me f c m We Monflfur, V ^ q S ^ l D « e damAy «M.. Par-j'yfoi remXn{?eur Lv eft afluremente cjuel- Jonnca-mox , Monheur. . Monfieur. quehiitoire k-teMm^ ™ » ^ dans q Moi 1 ' ^ " ^ Mon-ftySac. A h , M°n»2^' ^ e que c'eitre-la. Tout-f ^ S S S T ^ e m e " ? rout- beau, Vous bc?'U ' n r ^ r e de vouloir voir ce que je porte. n'avez que iaire ae vu }e T£rfcz Pr* innent Montre-moi fous, te dy.je. Je m'apart.ennent. . ? ^ MQ1 Uer ^ftl'taSSie defTuS les enaules de toi Je »c ae tte f - 1 X 0"nY}, i roi faire ictrole. Ahi, ahi, ahi, aoquedecela. A • g «««* ^foir. leinx i'« *i t • KU I npfte foit du i>ara- Ah! je fuis roue. S C A P I N . Ah! je fuis mort. G E R O N T E . Pourquoidiantre faut-il qu'ils frappent fur m on **' S c A P I N , /«/ rcmettant fa tele dans le fac Prenez parde, vo:c: one demi douzame de fol- J s tout enfemble. 11 contrefait flnftenrs perfonnei % Z AVons, tfichonsa trouver ce Geronte, fchons par tout. N'epargnon* point nos pas. Couro^ toute la vine. N^ubSonsaucunheu. Vita tout, r-tons de tous les cotcz Pare.i irons nous> TourriolTsT^ la Non , par icy. A gauche. ILite, Kenny. Si fait. Cachez-vous bien. A h , u |