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Show *3* GEORGE G E O R GE DANDIN, D AND IN. II fuit, & m e laifTe inform^de la nouvell* „ die de m a coquine Allons, il faut que fin^" ^er, j'cnvoye appeller fon pere & fa mere 1 ^ cette avanture m e ferve a m e faire feoaiir J.T* HoU 5 Colin, Colin, yt^/o^a^^k S C t NE *1V. ' COLIN, GEORGE DANDIN, COLIN. n _ %A la fenetre. ^JOnfieur. G E O R G E D A N D I N. Allons, vite, ici bas. c. + C ° L " N. • .£.» fautant par la fenitre. M ' y voila. O n ne peut pas plus vite. G E O R G E DANDIN. Tu es la ? C O L I N . Ouy, Monfieur. Tendant an'il -pa lui parler d'un chi, Colin ^ A i u • GEORGE DANDIN. Doucement. Parle bas. Ecoute. Va-t-enctamo. beau-pere, & ma belle-mere , & dy q £ # £ tres^ttamment de venir tout a l'heure ici Fm t u T E h rCo'lin, Colin. ** lm C O L I N . De Pautre eke. Monfieur. GEORGE DANDIN, A Ou diable es-tu ? C O L I N . Ici. GEORGE DANDIN. Comme Us fe font tous deux chercher, hnfijfiit the , & Vautre de Vautre- Pefte foit du maroufle qui s'e'loignedemoi. Jt te dis que tu ailles de ce pas trouver mon beau-pere, & ma belle- mere, & leur dire que je les conjure it C O M E D I E. 7 ^ ?P prendre ici tout a l'heure. M'cntens-tu bien f * & pons. Colin. Colin^ DePautre che. Monfieur O L I N. GEORGE DANDIN. Voila unpendart qui me/era enrager, vien-ten lis fe cornent & Umbcnt tous deux. Ah le traftr.! il m'a eftropie. O u eft-ce que tu es approche que je te donne mille coups. Je penfe qu il DANDIN. L I N. ie fuit. C O L I N . Afiiirement. G E O R G E Veux-tu venir? C o Kenny ma foi« GEORGE DANDIN> Vien, te dis-je. C O L I N . Point, vous m e voulez battre. G E O R G E D A N D I N* $ bien, non. Je ne te fcrai rien. C O L I N. Allurement ? G E O R G E D A N D I N. Oui Approche. Bon. Tu es bien-heureux decs' que j'ay befoin de toi. Va-t-en vite d e m a partprier mon beau-pere & m a belle-mere de fe rendre ici le pliitot qu'ils pourront, & leur dis que c'eft pour une affaire de la derniere confequence. Et s'ils faifoicnt quelque difficult^ a caufede l'heure, ne manque pas de les prefTer, & de leur bien faire entendre qu'il eft treVimportant qu'ils viennent , en quelque etat qu'ils foient, Tu m'entens bien maintenant.. C O L t it Oui, Monfieur. GEORGE DANDIN. Va vite, & revien de meme. Et moi je vai ren-trer dans ma maifon attendant que... Maisj'entens quelqu'un. Ne feroit-ce point m a femme. II faut que j'ecc-ute, & m e ferve de Pobfcurice' qu'il fait. * f f 7 SCE* |