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Show L' A V A R E, I I S i A C T $%&%& S C E N * . HARPAGON V A L E RE H*JUL r.... E III. E I. JAQUES NE , LA CLEANTE, D A M E C L BRINDAVOI-AUDE, MERLUCHE. y^^ay//- /JI A L Lions. Venez-ca tous mes ordrcs pour tantoft * que je vous diftribue & regie a chacun foD employ. Approchez , D a m e Claude. Cominencons par vous. Elletientnn Balay. Bon , vous voila les armes a la main. Je vous c >mmets au foin de netto. yer par tout; fur tout, prenez garde de ne point frotter les meublcs trop fort , de peur de les ufer. Outre cela , je vous conftitue , pendant le taupe" \ au gouvernement des bouteiiles; & s'il s'en ecarte quelou'une, & qu'il fecafTe quelque chofe, je m'en rendray a vous, & le rabattray fur vos gages. ' ^u-^~ Mj J A O ^ U E S. , ^/Chaftiment politique. YITTA HARPAGON. Allez. Vous, Brindavoine , & vous, la Merlu-je vous £tablis dans la charge de rincer les ver- ., & de donner a boire ; mais feulement lors que WAZ...A'o n a u r a foif> & non pas felon la coutume de cer. tains lmpertinens de Laquais qui viennent proyo-quer les gens, & les faire avifer de boire, lorsq'u'oi n'yfbnge pas. Attendez qu'on vous en demande plus d'une fois , & vous reflbuvenez de porter toii-joursbeaucoup d'eau. M. J A Q^U E S. / Ouy ; le vinpur monteala tefte. j-JLi ^Tve^i- ^A ^ E y R L l , c H E.,y • / Quitterons-nous nosflqjtienilles, Monfieur? H A R P A G O N . Ouy , quand vous verrez venir les perfonnes ; & gardez-bien de gafter Y O S habits. BRIS-cne "res C O M E D J E / ^ B ^B ion pourp lilcdeli -bScor,^^ndetachede rSdelalampe. L u c „ E x5* Hlnr erne j'ay mon haut-de-chauf- Etmoy, ^ n ^ | ^ " e r i . &qu'onmevoir, re-fes tout trou* V^^/^iuT. * verence parler...^^/G O K > * T ~ ~ ZZez celt adroitement du cofte^ de la mu- Paix. Rangwceiaa ^^ au de§ raille, & V < f ™ l Z J a u devant de ficn pourpotnt, pourmontrer atsrmaa toujours voftre rtoM<^fta«vSu V S Pour vous, chapeau amfi, lorsqu^vou defTervira, ma fille ^ ™ ™ L f B TenTfTe aucun degaft. * K ^ & Ma^cep-dant preparez-v Cou fbien'recevoir ma Ifeifedfi qui vous^doit ve nirvifiter, & vous mener avec elle a la lore. W tendez.vous ce que je vous d-tffc « £ fi^ftjC Ouy,monPcre. *>,*» ^%^Znj£*X< H A R P A G O N . rggMugv* Un* Et vous, mon fils le Damoifeau, a qui j ay u v o n ^ l f tedepardonnerPhiftoirede tantoft, ne vous allez^, pas avifer non plus de luy faire mauvais vifage. C L E A N T E . Moy, mon Pere, mauvais vifzge? & par quelle raifon ? 4r ;- /y<u H A R P A G O N . ' Mon Dieu, nous fcavonsle train des enfans dont ^ les Peres fe remanent, & de quel ceil ils ont coutume ^ dercgarder ce qu'on appelle Belle-Mere. Mais fi^J-vous fouhaitcr. que je perde le fouvemr de vcftre/4*v£ h,. vous ipuhaitcr. que je perde Je louvenir cievcitre dernierefredaine, jevous recommande, fur tout, de regale?d'un^bon vifage cette perfonnc-la 3 &de luy faire enfintout le meilleur accueuil qu'il vous fe-luy iairc ennn tout ie meilleur accueuil Q U il vous le-ra poftible. <r* cu'w £+r*\ ^. ma//^0* Afcvi* C L E A N fE. "+fiC U A vous dire le vray, mon Pere, je ne puis pas vous promettre d'eftre bien-aife qu'elle devienne m a Belle Mere. Je mentirois, fijevousledifois: mais pour |