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Show 246 W. DE POURCEAUGKAC E a A s T E. On voit les gens d'efprit en tout. S B R I G A N I . le vais accompagner Monfieur, & lP, Jvous voudrez. ' * l£ r a n^ij E R A S T E. ou vous voudrez. E D I E. ' . 347 „lnue folie , que nous fenons l V « ^ifcs I taqu^4e ^ ? r avant que de le marier. c f ' J p f r * ri?ilpUC& I 'A P OT I Q U A I R E. PM^JrZk. ^ nuecVft,jef£yce quec'.ft, & j'etSiS^ H R A S T E. Ouy , je ferai bien aife de donner quelques ord, & vous n'avez qu^a revenir a cette maifon.la. S B R I G A N I . Nous fommes a vous tout a l'heure, E R A s T E. Je vous attens avec impatience. M. DE POURCEAUGNAC. Voila une connoiiTance ou je ne m'attendoispoi S D R I G A N I . 11 a la mine d'etre honnete homme. E R A S T E , feul. M a foi, Monfieur de Pourceaugnac , nous vt en donnerons de toutes les facons \ les chofes [m preparers, & je n'ay qu'a frapper, SCENE V. L'APOTLQUAIRE, ERASTE. E R A S T E. T J Ola ? Je erois Monfieur, que vous e'tes le Me *^ cin a qui l'on eft venu parler de ma part. L ' A P O T 1 q U A I RE. Non , Monfieur, ce n'eft pas moi qui fuis lei decin; a moi n'appartientpas cet honneur, & j fuis qu'Apotiquaire , Apotiquaire indigne, ] vous Tervir. E R A s T E. Et Monfieur le Medecin eft-il a la maifon ? L'APOTIQUAIRE. O u y , il eft la embarrafTe" aexpedier quelquesl h d e s , & je vais luy dire que vous etes ici. E R A s T E, N o n , nebougez, j'attendrai qu'il ait fait; c'« oout lui mettre entre les mains certain parent q« »ous avons, dontonluia parle, & qui fc trouve; 1 .*. T , i avec lui q la 'nd onfui a parl^ de cette affaire. M a f . 1 vousne pouviez pas vous adrefler h J ^ X *' Z habile; c'eft un h o m m e qui fait * * £ , plus MDUC., ^^^ Cro.x ^ ^ t ^ttfoX comme je fcay ma Croix de- *i Medecme a wr.• » ondevroit crever, nede--^, l!'us & q"un iota des regies des Anciens. Ouy, # > \e arandchemin, le grand c h e m i n, h e f c * ^ ^ " Patdieui & <J?M"i des regies des Anciens. Ouy, > ' oitp»dT^dchemin, le grand chemin,^ t 7 C I ^ ' - C t e i P ^ S S S : le grand chemin . toujours leg midi a gaiajorze heures; & i"n*Tl S^iiae-.-rrSe^oudroitpas avoat &»tI0Utl°/rfonneavec d'autres remedes que ceua* fqBuueeriia u*^^eM iP . ,r _-E.~ rR A s T E. , '^.fortbien^nmaladenedoitpointvouloir ^..i^n'vconfente. QJJA I RE. F W V J . . & i'aimerois mieux m u u m «*. «~ ~ fon malade, * j d>un autre y K 5 ' Tamver on eft a m ^ que les chofestont If'11 p U 1 5 e ; & quand on meurt fous fa con- *. onr • nn eft bien-aife au moins d'etre mort , j^g A S - e n t Au refte, il n^ftpas d e c e s M e - ^ , £ mmarchandenr les maladies ; c'eft un horn- r^ SrapiaitilTqui aime a depechcr fesf '^S'tt* am.mrir. cela fe fait avec >W n effet, il n'eft rien tel que d e fortir p r o m p t e - I 9 +h sent d'affaire, L ' A P O T t Q U A i R E . Celaeft vrai, a quoy bon tant bargujgner & tjnt mmer autourdu pot' il faut fcavoir viitement le IUII1C1 AUI.UU. y»v; [•»•• -" j-.- * rT(KIong d'une naaladie , b a f i d i &Q \i ^llr^vtf}f-w-Z |