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Show 1 L ' l M P O S T E UR Que pour v6tre falut vous le devez cntendr. E t q u il ne reprend rien qui ne foit a repre^ V Cesvifites, cesbals, ces conversion? ^ Sont, du m a l m Efprit, toutes inventions V VH La , jamais on n'entend de pieufes parol/ Ce font propos oififs , chanfons,&fanbol'*'"4 Bien fouvent le prochain en a fa bonn p r ' ' Etl on yfcaitm^dire,&du tiers & j ? ' * Enfin les gens fenfez ont leurs teres troubg"' De la confufion de telles aflemblees • ' Mille caquets divers s'y font en m o b s de tie* £t c o m m e l'autrc jour un Dotteur dit fort?' C'eft yentablement la Tour de Babylon/ 5 Car chacun y babille , & tout du long del'™ Et pour conter l'hiftoire ou cepoinSl'Ino ! Voila-t.il pas Monfieur qui ricaS?defa > T ^ '" Allez chercher vos fous qui vduTdonnent a S ' ' Et fans . .. Adieu , m a Bru, je ne veux p u Sj Scachez que pour ceans j'en rabats de m o i T ^ Et qu il fera beau temps, quahcTTTrhettray ' i^ Donnant un foafllct a TUpttt. P * Allons, vous , vous revez, &bavezaux Com.n Jour de Dieu, ,e fcaurai vous f f f i J , * " * Uarchons, gaupe. axaarchons. . tMJ^\ .^"^•''s'cf'/rir^^ » CLEANTE, DORINE, CLEANTE. O M E D 1 E. i, «vft rien au prix du Fils, i*3 & f0^ Mevenu comme un h o m m e h«betc , ^ ^ jlfi! J e« d 5 , Tirtuffe on Ie voit ent£t£. ^ - g £ fapPelle fon t »» »„ mpr(._ fils . fille, & J- „ E n'yveuxpointalier, D e peur qu'elle ne vint encor m e quereller • Que cette bonne femme... D o R i H E. A h leer tes, c> Qu'elle ne vous oiiit tenir un tel langage; ElTe vous diroit bien qu'elle vous trouve bon, Et qu'elle n'eft point d'age a luy donner ce nom. C L E A N T E . C o m m e elle s'eft pour rien contre nous echauffee! Et que de fon Tartuffe elle paroiftcoiffee! -. , \**r* LcsS . 'iJ" 1> « # & * ' Cent fois plus crui v • e COnfident, rvft de tous fes lee rets H , Srdefes ^ [ o n s ] e i D l % T l u r une MaitreflV, A v^ LSrro«eXr1lluidir,DieuvouSa.de. ^^S'Xft^out.fonHeros; Enfiml en eft fou, c••* k wac ^ p o s; 11 f admiK a touscoups, ., d s m i r acles, '•Uoindres aft-o" '^ fe fon7p0ur lui des Oracles. Etcousles«W3« " ' ^ui^eutenjofiir,«JMfif«- lui qui connoltra dupe, « M W o a i f»<** dt"™t"'tou« heure des fommes ,^ 800 C>Sa0t/ ftl X f e t fur tous tant que nous foffl- V> Itprenddroittde gioier'"> ^, t ^ t„«-7^ .^pTstf^uFat^uiluifertdegarfon,^^^ SmeleU o« nous faare e9on. fa. nous fr^'ArrrrouW & no mooches. Ft ietter nos rubans, notre rouge..« n" . I u X , i;a-f jour, - ^ ^ ^ I S S S i s Un mouchoir qu'il trouva dans une » e u r w Difot que .ousmf lions, par un crm«ei&oyaWe, Avecfaifaintcte, les paruresdu diable. SCENE III. [ ELMIRE, MARIANE, DAMIS, CLEANTE, DORINE. E L M I R E-V Ous etes bienhcureux, de n'eftre point venu V Au difcours qu'a la Porte elle nous a tenu. |