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Show r fAP L' A V A R F> a Aiourci , que le ciel garantit des ondes ,. m n 8 C n i qUli P ° » ™ / & qui vous avaL ° t0«« ™orts duram plus de feize ans, fe prCn2 " t0Us ** longs voyages, a chercher dans 1tfygjd> *** * c t f fageperfonne, la confolation'dJ* I"16 ^ C O M S C E E D velle famille. Le p eu de fcurct? cue ^ u « ^ « » v,e, aretourner a Naples, m'J fiiJ r y VCu P«i«t i Pour colours j & ayant fceu trouver ' y reRo^t' fous le nom dWlme j'ay vouTu m^??* ^ gnns de cet autre nom qui m'a caufr « g ?lescl* C'eftlavoftre?ilsVPAG°-^g Oui. A « s E L M E. ' . ' '/-HA»PUH Je vous prenj^artie, pour m c paver , . us qu'il m'Alffttr- Pa/er dix ml! N £ VI. rt E ANT E , VALERE , MARr A NE, ELISE , C FROSINE/HARPAGON, AN.SELME, M JACQUES, LA PLECHE , LE COM-J MISSAIRE , SON CLERC. C L E A N T E L M X, G 0 N. £cus qu'il m'a"voTez: A N S E Luy , vous avoir vole' ? H A R P A Luy-m£me. V A L E R Qui vous dit cela ?• w •« T H A R F A G 0 Maiftre Jacques. C'eft toy qui le dis r „ M-. J A c q^u E Vous voyez que je ne dis rien. A R p A G 0 II eft en lieu C'eit eterminez; N. X. s. N. F vous tourmentez point, mon Pere , &naccu-i> fez perfonne. J'ay decouvert des nouvelles de «ftrr affaire. & ie vicns ici pour vousdire, que li v ^ v 4 ^ z vmit refoudre a L e laifferepouferMa-riane, voftre argent vous fera rendu. II A R r A G O N. Oueft.il? C L E A N T E . Ne vovs en mettez point en peine. dont je repons, & tout ne depend que de moy. \ vous de me dire a quoy vous vous determinez; & rouspouvezchoifir, ou de m e former-Manine, ou le perdrc voftre caiTette. J r %*# CMSfc^ H A R P A G O N . M'en a-t-on rien ofte7? C L E A N T E. Rien dutout. Voyez, fi c'eft voftre deflein de fouf-erirea ce mariage , & d e joindre voftre con fen te-lent accluy de la Mere , qui luy laiffe la liberie de faire un choix entre nous deux. M A R I A N E . Mais vous ne fcavez pas, que ce n'eft pas affez que ce confentement; & que le Ciel, avec un Frere que vous voyez, vient de m e rendreun Pere dont vous Oui. Voila Monfieur le CommiiTai^ «. • ro us fa depofition. iS to&^^TS&"»• **» m,°bcenir A N S E L M E. Le Ciel, mes enfans, ne me redonne point a vous, V A L E R E. ^Pouvez-vousmecroir; * £ & d'une action fi j HARPAGON. Capable, ou non capable, je veux r'avoiraionar.j gent. pour eftre contraire a vos vceux. Seigneur Harpagon , vous jugez bien que le choix d'une jeune perfonne tombera fur le filsplutdt que fur le Pere. Al- 'ons, nevous faites point dire ccqu'ii n'eft pas ne- . effaire d'entendre, & confentez ainfi que moy a ce double hymen£e. SCf-1 caffette. H A R P A G O N . II faut, pour m e donner confeil, queje voie m a Cl£- 1 j |