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Show 1 m. ftsaUl M. P• E K H E L ra E. J ignore ce qa'au fond leServitcurpeut e" Mais pour h o m m e dc bien , je garantis le M ? ' Vous ne lui voulez m a l , & ne ie rebutcz e> Qu'a caufe qu'il vous dit h tous vos verjte> Oeit contre le P e c W que fon cceur fe m... Et L'intertf du Ciel eft tout ce qui le l ^ ^ D O R 1 N E. ^ Oui; mais pourquoi , fur tout denui. , temps, *"** unceri:.| Ne fcauroit-il fouffrirqu'aucun hantec-,, . & + En quoi blefie le Ciel une vifite honnfce ,'^Pour en faire un vacarme a nous romnre 1, <> i > Veut-on que la-deflus je m'expliaue^! CtJ A* - £aif?^vous,'& lon&e r* a,ux <*ofes que vous dirt< v ^ C e n eft pas lui tout foil qui blame ces vifite Tout ce tracas qui fuit les eens cue vn.« u ' Ces Carafes fans ceffe a I z M ^ Z ^ 1 * \ E t de tant de Laquais lebruyant aflembiaw *ont un ecjatjacheux dans tout le voifinaiS -qu'aufondilnefepaiTericn" in parle, &celan'eit pas bien! C L E A N T E. H e , voulez-vous , Madame , empecher qu'oJ caule r v^cij Ce feroit dans la vie une facheufe chofe, Si pour les fots difcours ou Pon peut eaemis 11 falloit renoncer a fes meilieurs Amis: Et quand m e m e on pourroit fe refuwdre a le faire Croiriez-vous obli ger tout le monde a fe taire > ' Contre la Medifance il n'eft point de rempart • A tous les fots caquets n'ayons done nul egard Effbrcons nous de vivre avec toute innocence' Et laiifons aux Caufeurs une pleine licence, D O R I N E. Daphne* n6tre Voifine , & fon petit Epoux, Ne feroient-ils point ceux qui parlent mal de nous.1 Ceux de qui la conduitc offre le plus a rire, Sont toujours fur autrui les premiers a m^dire; lis ne manquent jamais de feifir promptement L'apparente lueur dumoindre attachenent, v LlJiy t&p.'******' rfv I tr n Via is Hsrenfentdanslcmona reffi.mblanw, rf * ^ u ^ one? donnerd.Innocence, tf A"! ''"'itas romber quelques traits parage^ On foit qu'Orante mene u« . Y dcs ,1 clt vra. qu'elle vit en aui y ^ "is Yir' d 2 nMt e t prude? fon corps defendant. HXSutetSa.tirerte ho»«g«./^. Auf itnLueux d'une haute fagefle, '. f Itd r UV0 ,f,« Xd&uifcrla fo.blefle. tjOW^ £ SH^UU^Scoquet*s dutenap*. , ' flw eft dur de voir deferter les galans. ',<&? ' a"n Abandon , leur fi»^«™£e J V< ft voit d'autre reconrs que le metier de pruu ^ ftlifcvcritedecesTremmesdebien / ». &n^rirm eenti^e Haurement, d'un chacun, elles blament la vie , S n S r charite, ma.s par un trait d'envie, j ^ K & i c fouffrir qu'une autre W*f**»> <^< jfcnt le panchant de Page a fevre" leurs defirs. ^ ^ ^. 11**/* )M. P l R H E L H. Voilalcscontes bleus qu'il vous fautpour vous plaire. Ma Bru, l'on eft chez vous, contrainre de le taire j Car Madame, a jafer, tient le d6 tout le jour : Maisenfin, je prdtens difcounr a mon tour. ]e vous dy que mon fils n'a rien fait de plus lape, Qu'cn recueillant chez foi ce devot perfonnage,. Quele Ciel au befoin Ta ceansenvoy^,. four ledrclfera tous votre cfprit fourvoyd \r i\\§ti!fi^. n/**tj*Qr-tsyY Voor*y |