OCR Text |
Show M-Ch-ion^lffeJ h>rt*«KfV^ M. D E P O U R C E A U G N AC iv^4H.,miUc^cus' cejeune Seigneur etrangerquel'on - ^ ,n nachezvous; lorfque vous fires galamment Cef, -f3e/iK-concrad ^ u ? u m Y o u t e une families lors qu'L Urv- tam de S r a n d c u r d'arne vo^s fcutes nier le AM. qu'on Y O U S avoir conhe ; & q u e f i g e n e r ^^ vousvit prcter votre temoignage a faire pendrer deux perlonnes qui ne ravoient pas merits. N E R 1 N E. Ce font petites bagatelles qui ne valent pas au\, %#. tn parle, & vos eloges m e font roueir. ' j (L YiOBrbteJp**/ S'B R i o A N i. ^161^^ 3e Yeu* bien ^pargner votre modeftie , lain i U W - c e l a ' & P o u r commencer notre affaire, allons • tv - join<ire n6tre Provincial, randis que de votre LJ vousnou3tiendrezprets aubefoinlesanrr*.c x; dela Comedie. is va prtHs aubefoin les autres Aftej P^^tcH^ Ci^ you.tl E R A S T Z.^Kj^ti fifi A u moins, Madame, fouvenez-vousdev6trej lei & pour mieux couvrirndtre jeu-, feignez ,< m e on vous a dit, d'etre la plus contenteTu'ino de des refolutions de votre Tere... (XL tfeih 4L (LU-> J U L I E. S'il ne tient qu'a cela , les chofes ironta mcnefl E R A S T E. Mais , bePe Julie, li toutes nos Machines venoia a ne pas reuffir i J U L I F. Je declarerai a m o n Pere mes veritables fen mens. E R A s T E. Et fi contre vos fentimens il s'obftinoit a deffein: J U L I E. Je le menacerois de m e jetter dans un Couvent. E R A S T E. Mais fi ma^gre tout cela il vouloit vous forcer a mariage? J U L I E. Que voulez-vous que je vous dife ? E R A S T E. Ce que je veux que vous me difiez * J U L I E , Ouy. h mal-promcttez ink par Eh bilellnl C O M E D I E . ? E R A S T E. / W o n dit quand on aimc bien. U 4 Juu I. ^UOi" ERASTE. n •• rien nepourra vous contraindre, &que t^oi!sles efforts d'un Pere, vous m e promc ni#u Erafte, conrentez-vous de ce que je ml enant & I'iMtz point tenter fur 1'avenir prions ac mon cceE : ne fatigue* point-j ^narks propofitaoaas d'aitae facheuk « - » ., °" d 7 d o n . S « B'auroM-nous pas beTon | & & * SBUGAKI. £ Mafoi, voici ndtrc h o m m e , fongeons a nous. N E R I N E. Ah comme ileftbati. SCENE III. M, DE POURCEAUGNAC , SBRIGANl". DE POURCEAUGNAC, fie tonrne ducStcd'ok ihient,ccmmcparlant a des gens <pti lefiuiyent. T bien',quoy ? qu'eft-ce ? qu'y a-t-il ? A u dian-trefoit la fotte Ville , & les fortes gens qui y t:ne pouvoir faire unpas fans trouver des N i - udsqui vous regardent, & fe mettent a rire ? E h , leurs les Badauts, faites vos affaires, &laifTez iter les perfonnes fans leur rire an nez. J e m e don-au diable, li je ne bailie un coup de poing au pre-erquejeverrairire. S B R I G A H I. Qu'eft-ce que c'eft, Meffieurs ? que veut dire ce- 'aquienavez-vous? faut-il fc moquer ainfi des nnetcs Strangers qui arrivent ici ? M. DE POURCEAUGNAC, Voiii un homme raifonnable celui-la. ?PP $*AI~ 1 |