OCR Text |
Show Ztfo** SCENE V. V ^ O R G O N ^ C L E A K T E , C L E A N i A Votre nez, m o n Frere, elle fe ritde vous- •**Et fans avoir deffein de vous mettre en cou Je vous dirai tout franc, que c'eft avec juttic^1 A t-on jamais parte d'un iemblable caprice •e" Et fe peut-ilqu'un h o m m e ait un charm?,, d'huy eai A vous faire oublier toutes chofes pout luy* Qu'apre's avoir chez vous repare" fa mifere Vous en veniez au pointt. ,.; •JM' " r, Q ^ G o N. A j^./rtty ^ttJUte4a,monBeau.frerp Vous ne connoiflez pas celui dont vous parlez. C L E A N T E . Je ne le connois pas, puis que vous le voulez: Mais enfin, pour fcavoir quel homme cepeut &« O R G 0 N. M o n frere, vous feriez charms' de le connoitre Er vos ravifiemens ne prendroient point de fin, C'eft un h o m m e ... qui... ah... un homme 4 «"".ai\, , , | h o m m e entin. Qui fuit bien fes lecons, goute une paixprofonde Et c o m m e du fumier, regarde tout le monde. tii Oui, je deviens tout autre avec fon entretien,- 11 m'enfeigne a n'avoir affection pour rien ;„ ., D e toutes amitiez il deucKe m o n ame, faa VuiW Et je verrois mourir frere, enfans, mere ,&fcrrm Q u e je m'en foucirois autant que de cela, C L E A N T E . Les fent imens humains, m o n frere, que voila! O R G o N. H a , fi vous aviez veu c o m m e j'enfisrencontre, Vous auriez pris pour lui Pamitie" que je montre, Chaque jour a PEglife il venoit d'un air doux, Tout vis-a -vis de m o i , fe mettre i deuxgenwi 11 attiroit les yeux de Paflembtee entiere, l*ar Pardeur dont au Ciel il pouffoit fa priere: II faifoit des foupirs, de grands ^lanccmew, ^ r» Vf E D I P' C u , ^rlatcrreatousmomens: rfcbaifoichajnbjnm ^ ^ n c o i t vfte, K wsauejc iortois, ]>Eau-benite. 1 de fon ind»f^; *fflais Jec modeltie, 167 Klui faifois des dons> i - d une partie " « • * * lo^ours^en ren ^ ^ ^ ^ eft trop-n yu •eft troR' taea {^t 6 . prend pour mon honne ,es doint, »'»""itde„,gfix?oi ils'enmontrejaloux lusquemo.,fi^*>• juf u . 0 u m o n t e f o n * *. ^ V O O S \ e S e l a m o . n d r e bagatelle, l5'lfflpUte n P uefumtpourlelcandalifer, , n l i e nf„S fevintl'autrejouiaccufcr *eS rifunepuce'nfaifantfaprtere, LYec Sde^ rte^lst odo ltcocurcsb va dni bnadain,ag c , < P 0 R G 0 N. »'. * hi* I , „ ce difcours fentlelibertinage.' JuVO**/t via de vos pawils le difcours ordinaire. ^ S * chacun foit aveugle comme eux. *• Etauin'adorepasdevainesfimagrees, ^,^/itofl Kref?ea,ni foi, pour les chofes facrees, ttM Allez. tous vos difcours ne m e font poiht de peur, ^ • 'Tefcay comme je parle, & le ciel voit m o n cceur. fce tous vos faconniers on n'eft point les efclaves, II elt de faux 2evotsT ainfi que de faux braves: Et comme on ne voit pas qu'ou l'honneur les con- |