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Show 448 ACHMET vous venez du Balcon le DivertifTemerit que fai oidonne. {apercevant Pierrot) H a ! Voiia done la Nourrice d Attalide. (Pierrot lui fait une profonde reverence.) ALMANZINE. Oui, Seigneur. Elle vous attendoit, pour vous remercier de la bontd que vous avez de la fourrrir aupres de fa Maitrefle. SOLIMAN. A I R 140. (Si vous avez par hazard.) Mais co nment 1 cette Dondon Eft fraiche c o m m e un gardoul PIERROT. Seisneur, vous voulez rire. *** SOLIMAN. Elle a fort bonne facon. PIERROT. Cela vous plait a dire. O h ! m a foi, m o n terns eft pafft! Mais it fa^oit m e voir quand je clonnois le teton a la Fille de votre Grand-Vizir. A I R 104. (§jitte ta houlette.) J'etois grafTouillette, ^ ET ALMANZINE. 44* J'avois la peau blanchette, J'ftois grafTouillette, J'&ois un Ortolan: Une Tamponne, Une Friponne, D'humeur boufonne, Une M a m a n, Digne d'amufer un Sultan. SOLIMAN. Vous en avez encore de beaux reftcs, la Hour rice, (a Almanzine , lui donnant la main) Kile eft gaillarde, elle vous rejouira. ALMANZINE. Nous comptons bien la-deifus. SCENE X. PIERROT/*«/. Hoca, m o n A m i , bride en main. T u vas rencontrer a chaque pas de gentilles creatures; que les doigts ne te ddmangent point, je te prie. A I R Z8. (Menuet de M. de Grandval) Garde toi bien , Pierrot boa-drille, ?m. VI. V Dt |