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Show 434 ACHMET AIR, (Pour faire honneur k la nice.) Par ce chatiment terrible, Vous allez caufer fon trepas: La pauvre Enfant ne pourra pas Supporter un travail penible. Par ce chatiment terrible, Vous allez caufer fon trepas. SOLIMAN. Vous foes trop bonne, Almanzine, vous rtestrop bonne, de vous interelTer pour elle. (a Aii) Ali, qu'on rn'obei'iTe... ALMANZINE, retenant encore Ali. He% non, non'.Un moment ! (aS*Hman) Elle m e fait compaflion. Songez qu'elle n'a point de part au crime de fon Pere. A i R , ( Quand je tiens de ce jus d'Octobre.) LaifTez-lui voir votre clemence, Et marquez moi votre amitie'; Confiderez fon innocence, Ayez egard a ma pitic\ SOLIMAN. Qu'exigefc-vous de moi? ET ALMANZINE ,2r A L M A N Z I N E , k g^oux. ^ A IK, (Si dans le mal qui mt ^ ^ ) Donnez fa grace a ma priere ! Je vous la demande a genoux SOLIMAN, la relevant. Chere Almanzine, levez-vous. Pour vous la donner plus entiere, Et pre>enir votre defir, Je pardonne meme au Vizir. ("Ali.) p Ali, remene toi-meme Attalide chez fon ALMANZINE, kpart, interdite. Fatal revers ! (flua) Seigneur L'ex. ces de votre gcue'rofue' A /i; n T parlamanchef ' ' ' * Ah l arret«»> SOLIMAN. A i R 80. (Un de nos Bergers l'autre jour.) Oui, cher Objet de mon ardeur, bis. Je confens, qu'en votre faveur, A fon Pere on la rende. ALMANZINE. Non, non, vous m'accordez, Seigneur, Plus que je ne demande. T % Con |