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Show i$o L'OBSTACLE Qui, dans fon courroux, M e difoit fans cefTe: Morguienne de vous! Quell' femme, quell' femme, Morguienne de vous ! Quell' femme etes vous I .J^arriyoit-il de cela? La Dame, pour fe defaire de fon Argus, faifoit entendre au Pere ou au Mari que j'e'tois dans les intereV d u n Amant; on la croyoit plut6t que moi & o n m e mettoit a la pone. M. TROUSSE-GALANT. Quelle irijuftice! * ARLEQUIN, Helas ! Monfieur, ma fidelitc a toujours^ mt monmalheur! Mais n'importe, ie n« ?uis m e refondre, A lit. 103. (%uittelahouUtn>) Je fuis infenfible, Je fuis incorruptible, Je' fuis infenfible Aax larmes d'un Muguet; Et fi Ie Drole Croit qu'on m'engeote Par la piftole, Je lui dis net; FAVORABLE. z8r (// changed'Air.) Turlututu, rengaine, rengaine, rengaine, Turlututu, rengaine , rengaine en ton goufTet. M. T R O U S SE-G AL A N T, k part. O! fi toutes les femmes de chambre e'toient c o m m e cela J DORANTE-Ma Mere eft un dragon fur le chapitre de l'honneur. ARLEQUIN. Ha-ha! Unjourun Galand eut Pinfolen-ce de m e mettre dans la main une grofTe ta-batiere d'or, pour 1'introduire dans l'Apar-tement de m a Maitrefle; je lalui jettai fi rude-ment alatite, qu'il fall at le trepaner. M. TROUSSE-GALANT. II le meritoft. (A part) C'eft un treTor que cette femme IL Voila ce qu'il nous fau* Jroit. DORANTE. He* bien, au-lieu d'etre recompenfe'ed'une fi bonne adion, elle fuc chaffce c o m m e une ^rutale* * |