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Show 218 LES PELERINS A R LE Q UIN & toutes les F E M M E S ,poufjm uu grand cri. Ah! LE SULTAN. Mais non , non, je ne dois pas, D u fang de ces fc£l<§rats Souiller mon cimeterre. ARLEQUIN, kpart. Ou nous fommesnous fourrez! LE SULTAN, a Rezia. Perfide! A I R, (Les Fanatiques que je crains.) T u m e traitois avec rigueur, Tufaifoisla Lucrece, Jandis que ton lache coeur, Cedanta fabafTefTe, A cet indigne Vainqueur Prodiguoit fa tendreffe. A I R 95. ( Malheureufie journee.) De ta honteufe flamme Je vais bien m e vanger: (Tup&iras, Infame! A L I, au Sultan. jCeffe de Poutragcr. R1 DE LA MECQUE. 2ip R E Z I A j, au Sultan. Prepare tes tortures; Maitre de notre fort, Epargne les injures, Et nous donne la mort. LE SULTAN. A I R , ( Je ne fuis pas fi diable.! O ciel! quelle infolence ! Ces coeurs audacieux Bra vent, en ma prefence, Mes tranfports furiPux! Gardes, qu'on les faififfe: Qu'en ce moment, pour eux, On invente un fupplice Des plus affreux. ARLEQUIN. Mifericorde! AMINE, kRizia. AIR, ( Tes beaux yeux, ma Nicolt.) O PrincelTe de Perfe! Quoi ? Ton vous traite ainfi! ARLEQUIN,*^', Faut-il qu'un Boureau verfe Lc fang du Prince Ali! R E Z I A , * Amine. O trop indifcrete A.mine! K 2 ALI,, |