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Show *8S L'OBSTACLE Non, non, nonj^vous ne m'aimez plus. N A N E T T E , riant. Ha, ha, ha,ha,, ha. .( ARLEQUIN. •Elle en rit encore, la double Effrontee! 1 NANETTE; k part. JDivertilTons-nous un peu de fa jaloufie. {Haut.) Tien, Arlequm, tu aimes la franchife, je vais te dire la verite. ARLEQUIN, C'efH dire, je vais te mentir* NANETTE, Non, je t'afsure. AIR 13. ( Voyelles Modemes.) Ce Berger agreable M'a parufort genti,i,i,i; II m'a dit: M o n Aimable, Que je fois votre A m i , i, i, !• Comment, avec un coeur tendre, D'un Berger fi joli, Biribi, Se FAVORABLE. xgp Se de'fendrei Se defendre? ARLEQUIN. Vous me tenez parole, vous etes fort fin-cere. NANETTE. L'autre jour, il me chantoit tendrement: AIR 107. (Lorfque je vois Colinette.) Lorfque j'appccois Nanette, Je fuis plus gAi qu'im pinfon > Je prepare ma Mufetre A rendre le plus doux fon. Quani je fuis avec la Belle, A badfoer fou; l'orm:au , Les Amours qui font pres d'elle Prennent foin de mon Troupeau. ARLEQUIN. Tu veux done m'aiffafJiner", Tiertfe 1 & faire perJre a I'Amphhheatre de Saint C o me un de fes plus afiidus Audiieurs! NANETTE. AIR 108. (J'avois, Lizette, un billet doux,) Je fuisfache'e D e t'affliger; Tome VI. N N Je |