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Show 3o2. L'OBSTACLE M. TROUSSE-GALANT, tremblant. C'eft a moi qu'on en veut! GUILLOT, toujours fans paroitre. Faut le charcher partout. M. TROUSSE-GALANT. Mi ericorde! B L A I S E , rentrant. Ali! Monfieu TroutTe-galant! . .. M. TROUSSE-GALANT, inquiet. He bien? BLAISE. Monfieu le Bailli viant de trdpaOer,^ voici ies Valets avec des fourches 6c des batons. AIR, (Tique, tique, taque, & lonlanla.) Fuyez, efquivez leux coups; bis. Autrement, c'eft fait de vous. bis. Ilsvenont, criant: Main-baffe! Tique, tique, taque, & lonlanla, Pour vous baiiler la ramaile. M. TROUSSE-GALANT. Je fuis perdu, les voila! c ^ FAVORABLE. ?0} SCENE V, M. TROUSSE-GALANT, BLAISE, GUILLOT , LUCAS , entrant armezM Pun d'une fourche, £ff Pautre d'un baton. LUCAS, AIR, (Les Trembleurs.) Ah ! je vois le double Traitre, Qui nous ote notre Maitre! GUILLOT. Frappons ! Faifons li connoitre Que Paris & nous font deux. M. TROUSSE-GALANT, fe cachant derriere Biaife. Comment me tirer d'aftaire! BLAISE, arrStant le coup de Guillot. Guillot, que voulez-vous faire? Quoi? va-t on de la magniere Affommer les gens chcux eux ? LUCAS. _ Pourquoi non ? Il eft bian venu tuer le Bailli cheux li. GUIL- |