OCR Text |
Show 4<$S ACHMET S C E N E V. SOLIMAN, ALI, PIERROT. P I E R R O T , dans le lointain. A i R 15*« ( u lonZ de ce RivaZe-) • Quel fujet de trifteffe! O jour malencontreux! Pour Soliman quel coup affreuxI Que dira Sa Hauteffe, Appienant le fort malheureux De fa pauvre Maitreffe! SOLIMAN. Qu'y a-t il done, Nourrice? PIERROT. (Il court comme un fou de tous cotez , fins faire femblant de voir, ni dentendre le Sultan.) Helas ' comment puis je etre encore en lie^ apres ce que je viens devoir de mes deux yeux! SOLIMAN. Quel fujet as-tu de t'affliger ainf>? PIERROT. A h ! ah ! ah ! Je n'en puis plus! ^ L I ET ALMANZINE. 4*9 A L I , arritant Pierrot par le bras. Mais, maBsnne, vous neprenez pas garde que le Sultan vous parle. P I E R R O T , au Sultan. Je vous demande ex cufe, m o n bon Seigneur* Tenez, c'eft que je fuis c o m m e une 1 roublee- Je ne vois pas ce que j'appercois. SOLIMAN. Explique-toi. PIERR;OT. Almanzine ... Ahi ! ... Attalide ... Ouf ! SOLIMAN. He-bien , Almanzine ?... PIERROT; Elles fe font toutes deux ... Je ne fai comment vous dire cela. SOLIMAN. A1 R , ( Paris eft en grand deuil.) Fini done, fi tu veux. PIERROT. Ces Dames tomes deux , De doultur tranfportecs X 3 (Sou- |