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Show A**n*********^^m^m^^^^^^^^^^^^^^^^*'^n zoo LES PELERINS Le fringant Pelerin, D e fes forces trop vain , Galoppe comme un Daim, 11 va toujours grand train, Jufques a la dinde: Mais le foir ce n'eft plus cela;. Ses fens s'afFoibliiTent, Ses pieds s'engourdiffent, * Ses jambes flechiffent, Ses jarrets molliffent; Le Galand va Cahin-caha, Le Galand va Cahin-caha, ARLEQUIN. Oh! n'ayez pas peur que je refte & moitie* chemin. AIR, (Ah! quil y va gaiment.) Prenez-moi pour votre Amant, A h ! que j'irai gaiment! Sans m e lafler nullement, Pendant notre longue traite* A h ! que j'irai, m a Poulette, I Ah! que j'irai gaiment! AMINE. Pour Amant! A I R DE LA MECQUE. zor A iR 90. (La charmante Alizon.) Non, non, j'eus toujours peur D u n e tendre ardeur; Jamais m o n coear,- Plein de rigueur, N'a voulu de Vainqueur; Mais ne perds pas l'efpoir, /Tu pourras m'emouvoir : II faut a tout moment, Tendrement, M e parler de ton tourment: Pouffe des helas! Di-moi que mes appas T e caufent le trdpas; Par tes foupirs, Que tes defirs Obtiennent des plaifirs. ARLEQUIN. Pour une fille de Cour, ventrebleu, vous tenez la dragCe bien haute! AMINE. Tai toi. Je vois ma MaitrefTe & le Prince Ali qui viennent avec le Calender. ARLEQUIN. Je vous laifle , ma Mignonne. Je vats I 5 fous- |