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Show 4i3 ACHMET AMULAKI. Mais, m o n Fils I ACHMET. I Mais le terns eft precieux. Voutej-Yott I ™ ,re qu'il vienne ic. des Jamllaires am-cherde vos bras Attalide, & vous rendre m I bonne intention inutile? AMULAKI, I ]e fuccombe I cette image. Je n'ai plus t. I force de combattre votre defleta. Vene* prendre les habits de votre Sceur, & lot don-n o les vAtres , fans lui decouvnr la caufc de ce deguifement. (Amulaki sen va , & Pierrot arrhe Aebmt qui veut Juhre [<"> P«"-) S C E N E XIII. ACHiMET, PIERROT. PIERROT. E T A L M A N Z I N E . 41P ACHMET. Oui , Pierrot.* Je ne puis vivre fans la dctromper, & fans lui apprendre que je IV dore. PIERROT. C'eft bien fait. J'aime les gens de cceur. ACHMET. Adieu. AIR, (Je ne finis ne, ni Roi, ni Prince,) Vetu des habits d'Attalide, Je luivrai l'amour qui m e guide. PIERROT. Puiffiez vous, fous cet attirail r Jouer votre rolle a merveilles; Et, bientot fortant du Serrai), Nous rapporter vos deux oreilles. (Achmetfiort. On entend une Symphonic.) SCENE XIV. I P J E R R O T fiul. Mais qu'eil ce que j'entends? •; Ha-ha! C'eft le Marchand d'Efclaves , qui amene ici toute fa boutique. lis fe rdjourifenr ap« S 6 pa- |