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Show i5o LES PELERINS. fnlmans, qui, fous le mafque de lament* Stoioienne, fuivent les maximes relieves des Ei>icuriens. A R L E Q U I N , branlant la the. Mafoi, je crois votre ordinaire bien mince, puifque v'ousdtes obligds de trucher. tLE CALENDER. Vous jugez , comme tout le monde, da feois par 1'ecorce. A I R , (Va-t'en voir s'ils viennent.) Les hommes pieufement Pour Catons nous tiennent: Ets'imagent, vraiment, Que nous vivons pauvrement: Va-fcn voir s'ils viennent, Jean, Va-f en voir s'ils viennent. ARLEQUIN. Voila ce que je n'aurois jamais cru. LE CALENDER. AIR, (Or voila la vie) Cuifine fournie D e cent mets divers, Et cave munie Des vins les plus chers: Ut •J DE LA MECQUE. 131 Or voila la vie, La vie, La vie, Or voila la vie Desbons Calenders! ARLEQUIN. Ma!epefte ! la bonne condition! LE CALENDER. Comment, bonne! Savez vous bien qu'i! y a parmi nous nombre de gens, qui out preTere la vie Calendrique aux plus grandes fortunes? AIR, ( Attend ez k demain au foir.) Pour la plupart il ont quitte Des biens en quantity bis, ARLEQUIN. Qu'il eft beau de quitter fon bien, Pour ne raanquerde rien ! bis. LE CALENDER. He bien , Grivois, voulez-vous etre des notresr * ARLEQUIN. Ah ! de tout m o n cceur! LE CALENDER; Cela ftant, il n'y a qu'a vous jetterfur le ^ ^ corps |