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Show 466 ACHMET SCENE IV. SOLIMAN, ALL SOLIMAN. Qacd!»tu,Ali,delareliftaaced'A!man. line? A L L A I R ISO- (Une fille jans un Ami.) Je dis que, dans fon tendre cceur, bis. Contre la fevere pudeur, Le folate Amour lute; Et qu'il ne tient qu'a vous, Seigneur, D e finir la difpute. SOLIMAN. hl*lSu(Oh,quer>!..oh,q»enennil) Oui, mais je crois, cher Ala, Ou'eUe ne fera pas contante D e mon ardeur trop preflante. ALI. Oh, que ft! SOLIMAN. Je vais de cette Inhumaine Augmentcr pour moi la haine, A L (- • ET ALMANZINE. 407 ALL Oh, que nenni! SOLIMAN. Ah ! fitu avois vutant6tjufqu,aquel point elle s'eft revoltce contre m o n impatience I Quel torrent de larmes elle a repaiidu! ALL A1R , ( Branle de Mets.) Vous connoifiez mal la Belle. Ses pleurs doivent vous flater. Elle ne veut refifter, Que pour mieux vous coefter d'elle, Elle irrite vos defirs, En vous paroiftant cruelle; Elle irrite vos defirs, Pour redoubler vos plaifirs. SOLIMAN. Tu me rafTures, mon Ami. Je vais done ceder a mes tranfports. Je cours, je vole chez Almanzine. (En cet endroit, on entend les cris de Pierrot qu'on ne voit point.) Mais que fignifient les cris que nous enten-dons? X 2 SCET "* • |