OCR Text |
Show 8t 1C1. LES ENRAGEZ. Mad. HUBERT. Il ne faut pas demander fi le Galand eft OLIVETTE. B o n ! H a ddja gagnd le Medecin, qui eft fon A m i intime, & dont nous avons abfolument befoin pour reuftir dans notre cntrepnfc 11 faut de votre c6te que vous... Mais quelqu'ua vierit. Mad. HUBERT. C'eft M Galbanon. IIvientdefairebaigner un Muiicien de Paris, qui a la rage de la jaloutie. Allons continuer notre convention dans le jardin. (Elles fe retirent.) SCENE IV. M.HUBERT, M. GALBANON un M U S I P I - E N jaloux, que tknmi deux Garfons de Cabaret. LE MUSICIEN, regardant de tons tk avec inquietude, On eft ma Femme? ou eft-elle? I LES ENRAGEZ. gj M. GALBANON. Elle n'eft pas loin. LE MUSJCIEN. AIR, ( Belle brunt, btllt brunt.) L'Infidele! L'Infidele! Je vous foupconne tous deux De vous entendre avec elle. L'Infidele! L'Infidele! M. HUBERT. Vous n'y penfez pas. LE MUSICIEN. Elle a quelque Galand dans ce paVs-ci. Ah! la traitrefle ! Elle eft avec lui dans ce m o ment. M. GALBANON.. He, non ! Tenez, la void. D 6 SCE« |