OCR Text |
Show 4f8 ACHMET Voici ce qu'il m'a repondu : A i R, ( Amis, fans regrttter Paris.) Me prends-tu done pour un Coquin ? Oui, mon Cher, ou je meure, T u retrouveras Arlequin Ici dans un quart-d heure. ALMANZINE. O Ciel ! Puis-je croire ce que j'entends! ACHMET. Bon ! Ce Pecheur fera des reflexions, il ne reviendra pas. ALMANZINE. He* pourquoi ne voulez»vous pas qu'il re-vienne? PIERROT. Vraiment, il eft ddja revenu, & m'a tendu, avec une longue perche, une echelle decor-des, que je viens d'attacher aux barreaindu Balcon. ALMANZINE. AIR1, ( N'oubliez pas votre houlette.) A h ! quelle fceureufe decouverte! Alerte.1 Su< ET ALMANZINE. 4^ Sauvonsnous de ces lieux. , ACHMET. Helas ! nous n'en ferons pas mieux! Nous ne pouvons fuir notre perte. ALMANZINE, prenant Achmet par la main. Ah ! quelle heureufe decouverte! Alerte! Sauvons-nous de ces lieux. PIERROT. Oui, ne perdez pas un moment. Je vais reiter ici, moi, pour faire accroire au Sultan que . .. Mais j'entends venir quelqu'um Decampez au plus plus vite (feul) Qui font ces perfonnes qui s'avancent? Ho-ho! ce font deux Filles qui prennent le frais... Elles viennent a moi. Tenons-nous bien fur nos gardes. Allons , Pierrot, de la fermete'! SCENE III. PIERROT, ROXANE, ARROYA. ROXANE. AIR, (Biaife, revenant des champs.) Gfoffe Gagui, dites-nous, N'eft- |